Les filles de l'ombre
t ici, et pourtant, elle savait qu'elle n'avait pas le choix. Si elle voulait survivre, elle devrait se faire une place dans ce lieu. Mais la pensée d'
orité qu'elle n'avait pas encore confirmée. Sasha observa chaque mouvement, chaque geste, ses s
pas suffisante pour effacer la tension entre elles. Je suis l'une des anciennes élèves
e se resserraient un peu plus à chaque mot prononcé. Chaque phrase semblait chargée d'
ant à en savoir plus sur ce qu'elle sous-entendait. Je ne
e légèrement amusé qui dénotai
. Et crois-moi, il n'y a rien de plus simple que de disparaître ici. Beaucoup l'ont fait avant toi. Son regard s'assombrit brièvement, comme si une ombre avait traversé
Elle savait que Sylvie avait raison. Les règles de ce lieu, ces non-dits, cette atmosphère où
, cherchant à comprendre ses motiv
s, son sourire toujours pr
lliances sont temporaires. Tu auras des ennemis. Certains se cacheront derrière des sourires, d'autres derrière des gestes bien plus sombres. Tu feras face à de
a fenêtre, où elle observa la cour extéri
ais, ce n'est pas la survie qui est dif
un goût amer dans la bouche de Sasha. Elle ne savait pas encore ce qu'elle avait à fai
elle, Sasha se retrouva seule dans cette pièce vaste et froide. Les murs semblaient se rapprocher davantage à chaque instant, comme pour la pres
est ou si c'était déjà trop tard pour elle. Si elle restait trop proche de ses principes, trop vulnérable dans sa quête de
x noirs de jais, ses yeux brillant d'une lueur étrange. Il semblait l'observer lui aussi. Sasha détourna rapidement l
retour. Peut-être qu'elle devait accepter ce qu'elle était, ce qu'elle allait devenir ici. Parce
-être, était de savoir jusqu'
s la cour. L'air était lourd, comme une menace silencieuse, et elle sentait une pression écrasante sur ses épaules. Il n'y avait pas de place pour la faiblesse ici. Pas de place pour ceu
es pensées. Elle se retourna brusquement, une main instinctivement posée sur l
ixant Sasha avec une intensité qui la fit frissonner. Il se tenait dans l'encadr
p-garou était plus calme qu'elle ne l'avait imaginée, presque
isée. Elle n'avait aucune envie d'engager une conversation avec lui, mais e
répondit-elle sèchement, bien qu'elle sach
és, comme s'il savourait la tension dans l'air. Pui
une pause, ses yeux luisant d'une lueur presque menaçante. Tu es déjà dans la ligne de mir
d'eux, comme pour englober to
sha, son ton défiant. Elle n'était pas naïve, elle sa
, un sourire énigmat
cement. Ce n'est pas de l'aide que tu as besoin.
ranchir le seuil de la porte, il se
tu as un secret, je peux le sentir. Un secret qui peut être à la fois une bénédiction et une malédiction. Fais att
un silence pesant. Sasha se retrouva seule, son esprit bouillo
s un lieu de réconfort, mais une arène. Et dans une arène, il n'y avait que deux choix : survivre ou disparaître. Mais même survivre semblait
ppait tout, à l'exception des lumières faibles qui perçaie
Qui était-ce encore ? Était-ce un autre étudiant ? Ou quelqu'un d'autre, une menace qui se cachait dans l'obscurité ? Elle se rapprocha lentement de la fenê
ce lieu, n'était rien de ce qu'elle avait pu imaginer. Chaque minute semblait la plon
rce qu'à Saint Maxime, chaque faux pas pourrait être fatal. Et elle savait que le plus grand piège de tous ét