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MARQUEE PAR LE LOUP

Chapitre 4 4

Nombre de mots : 1149    |    Mis à jour : 22/03/2025

ts. Puis, après un long silence, elle murmura,

hésitant à accepter ce geste. "Je te promets que

ent dans une expression de douleur. "Ils... ils ont tout pris. Ma famille

ra en l'écoutan

Mais l'un des soldats m'a attrapée... il m'a... il a voulu me violer." Elle s'arrêta un instant, ses mains tremblant a

cte, semblait plus forte, plus déterminée. "Tu es en sécurité maintenant," murmurai-je, se

dans ses prunelles. Je sentis un élan irrésistible de vouloir la protéger, de la garder hors de portée de ce monde cruel.

laisserai pas t'atteindre. Nous al

vant de répondre d'une voix faibl

rtir de là," répondis-je, ma décis

la retrouvaient, nous serions tous en danger. Je n'avais qu'une seule chance, une seule route pour nous sauve

croche-toi," lui dis-je, avant de faire un tour d'horizon.

forte. Nous devions atteindre les montagnes avant qu'ils ne se regroupent. Mais la nuit s'obscurcissait rapidement, e

ne vallée que je connaissais bien. Là, au bout du chemin, une

arer à la suite du voyage, à l'inconnu. Mais pour l'instant, nous étions ensem

ne faisait q

bscurité épaisse. La brume qui s'élevait des champs gelés semblait presque vivante, comme si elle cachait des secrets à ceux qui osaient y pénétrer. Sans perdre de temps, j'avais ouvert la porte de la grange et, une à une, mes compagnons d'aven

seur de ses vêtements. Je ne pouvais pas la laisser souffrir ainsi. Je l'avais enveloppée dans ma veste, un geste aussi protecteur que nécessai

ma voix douce mais ferme. "Tu en a

aits étaient incroyablement beaux, même dans ce moment de vulnérabilité, une beauté presque irréelle, comme un rêve. J'avais l'impres

t, masquant les bruits lointains de la nature. Seuls les hurlements des créatures nocturnes brisaient cette tranquillité, mais ils s'étaient estompés, devenant plus rares.

seul. Je pouv

ossible. Les hurlements avaient cessé, mais la tension dans l'air ne faisait que croître. J'observais Catalina dormir, agitée, comme si des cauchemars l'assaillaient. Elle pleu

main dans la mienne, comme un ancrage. Cela ne signifiait pas grand-chose, mais da

vers la fenêtre. Mon regard scrutait l'obscurité à la recherche de ce qui se cachait. Je ne vis rien, mais mes oreilles, elles, étaient plu

es empreintes grandes, profondes, comme si un animal gigantesque avait traversé l'endroit. Le sol s'était durci sous la neige

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