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L'Alpha et sa Compagne Rebelle

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 2166    |    Mis à jour : 21/03/2025

comme une lame de fer. Mes muscles se tendirent, chaque fibre de mon être cherchant à fuir, à m'échapper,

l semblait déjà savoir ce que j'étais pour lui. Tout comme moi, il sentait

ts restaient figés, son expression implacable. Il n'y avait pas d'émotion, pas de réconfort, ju

ts avalés par un torrent trop puissant. L'air autour de nous vibrait, presque vivant, chargé de cette tension qui nous unissait

able de détruire des meutes entières d'un simple mot. Et pourtant, il ne semblait pas avoir besoin de me le

ommes, dit-il enfin, sa

s dire. Ce que je voulais dire. Mais mes lèvres restèrent scellées. Comment expliquer à cet homme qu'il n'était pas

léger sourire se dessina sur ses lèvres, presque imperce

gne qui défie mon autorité ? Que je vais accepte

lpha, mais je ne pensais pas qu'il me jugerait aussi rapidement. Son regard se durcit

évitable. Mais laisse-moi te dire une chose, ma compagne n'aura pas de place dans

leur, non pas physique, mais intérieure, se propagea lentement en moi, me rongeant. Mais ce n'était p

se. Et pourtant, je savais, je le savais au fond de moi, qu'il ne me laisserait pas parti

dans les yeux, m

ire. Tu crois que ton pouvoir m'effraie ? Parce

pas lourds et mesurés, écrasant tout sur leur passage. Il était une montagne, et moi, je n'étais qu'une simple brise.

oire seul. J'ai dû tuer pour garder ce pouvoir. J'ai sacrifié plus de choses que tu ne pourrais

éparant. Sa présence était écrasante, une force invisible qui me

mais chaque partie de toi te dit que tu es mienne. Que tu es **notr

en un sens. Le lien existait, il était là, mais ce n'était pas ce que je voulais. Je n

ension. Mais Kieran n'allait pas me laisser partir si facilem

es ? Tu te fourres le doigt dans l'œil, Zara. Et si tu crois que tu

'autre choix que de me figer sur place. Il n'était pas comme les autres. Aucun autre Alpha n'aurait osé me parler

Pas une femme à mettre sur un piédestal pour que t

as droit de tout régir, dis-je enfin, ma v

me jaugeait, cherchant à comprendre la portée de mes mots. Mais dans ce silence, je savais q

tout à l'heure comme une prison invisible, était désormais devenu le centre de ma colère. Comment pouvais-je accepte

encieuse, chaque regard tourné vers nous, attendant la suite de cet aff

trice, mais derrière cette façade se cachait une blessure. Il avait sans doute imaginé que cette rencontre serait différente, qu'il n'

l se t

que ça. Bie

t pas de rage, seulement une froideur glaciale. Tu penses que tu peux rejeter ce lien comme s

e voulais pas me laisser submerger. Je ne voulais pas me laisser abattre par ce

lus contenir ma colère. Je ne suis pas ton jouet, Kieran. Je ne s

'était contre tout ce que représentait ce lien. Ce lien entre deux âmes, une chaîne invisible mais réelle q

nsées étaient écrites sur leurs visages : la curiosité, l'incompréhension, la surprise. Mais je n'avais plus

e sentir la tension se transformer en énergie brute. Il leva légèrement la

ement m'ignorer et partir comme si de rien n'était ? Que tu vas pouv

a peur. Non, c'était plutôt de l'agacement. Un agacement prof

Kieran, répliquai-je, mes mots acérés, plus forts qu'un coup de poing. Je ne s

. Il attendait que je cède à l'intensité de sa présence, à l'aura qu'il dé

grande inspiration, comme s'il cherchait à maîtriser la colère qui montai

e fuir. Laisse-moi te dire quelque chose, dit-il, sa voix d'abord bass

it trembler l'air entre nous. L'assemblée autour de nous sembla se figer, certains mur

dire, la dureté dans sa voix, dans ses yeux. Et cette menace... Je le savais capable de tout. Il n'était pas comme les autres.

pouvais p

e serai pas la première femme que tu forces à se soume

e reprendre, pour rassembler son calme. Quand il les rouvrit, il y avait une étrange lueur dans son regar

s dans quoi tu t'engages, Zara, murmura-t-il. Person

e ne pas être réduite à une simple compagne soumise, me consumait. Ce lien n'était pa

ran. Mais sache que je ne serai

que j'étais implacable. Il tourna les talons et s'éloigna, mais cette fois, il ne me

tant que nous serions liés. Pas tant que je

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