L'Alpha et sa Compagne Rebelle
. L'atmosphère était lourde, chargée d'une tension que même les murs de pierre semblaient absorber. Mon père,
prête,
ge se
is pas l
silencieux. Les alliances entre meutes ne se faisaient jamais sur un coup de tête. Elles étaient forgées dans le sang, d
, murmurai-je, ma voix
de mon père, posa une mai
ion de vouloir, souffla-
ne connaissais pas pour le bien de la meute ? J'avais grandi dans l'ombre de c
signe que la déc
douté, un guerrier respecté. Il a
me parcouru
er
nom. Tout le mon
osait le défier sans risquer une mort immédiate. Son terri
l était censé êt
aque seconde me donnait l'impression
rtir ? demandai-je
ea longuement av
ema
rata un b
ait déj
ant ma chaise si fort qu'elle ra
e vais me
us, mon souffle court, mes pas rapides, fuyan
dressait devant moi, massive, imposante, comme un rempart entre moi et l'avenir qu'il m'avait tracé. La chaleur de la colère bouillonnait dans mes veines, une chaleur qu
sur un parchemin qu'il semblait étudier. Il ne releva même pas la tête lorsq
? demanda-t-il d'une v
és. Ma respiration était sifflante, ir
me marier avec
n éclat dur, froid. L'expression qui habituellement se trouv
ne patience glaciale. Tu as été éduquée pou
ir le sourire amer qui s
dans votre jeu de pouvoir. Vous m'avez élevée pour être...
s l'air, tranchants com
Alpha imposant qui n'avait jamais co
e question de vouloir ou de refuser. C'est une qu
sillai d
corps. C'est ma liberté. Vous m'êtes en train de me condamner à être la femme d'un Alpha que je n'ai jamais r
si mes mots n'étaient pas suffisants p
jeux d'alliance. Vous m'avez élevée pour être forte, pour d
es yeux sombres, presque inquiétant
rendre. Les alliances sont nécessaires. L'Alpha Kieran a ce que nous recherchons.
de mon corps : il m'utilisait comme une monnaie d'échange. Mais c'était pire encore. Il
çai d'
s, ce que je veux. Vous ne voyez que ce que vous v
, son regard dur et inébranlable. Pourtant, quelq
hai encore,
Et une meute ne se résume pas à une simple pièc
oitrine, mais je ne pouvais pas reculer
uve qui ne comprend pas l
je n'écoutai pas la voix de
. Je suis une Alpha. Et je ne serai j
me juste avant la tempête. Puis, finalement, mon père parla, sa
pas le c
able sur mes lèvres. J'avais l'impressio
e déceve
la pression. Une fois dans le couloir, je me laissai tomber contre le mur, ma respiration se faisant p
ne pouvais pas l'accep
objet. Et je n'all
ressai, résolue. Une voix intérieure me murmurait, presque comme une promesse
t le moment, mais je n'étais pas prête. Chaque seconde qui passait m'enfonçait davantage dans une panique cr
ble fixé sur moi. Je ne pouvais pas respirer. Je n'arrivais plus à respirer. Mes poumons semb
lectrique traversait chaque fibre de mon être. L'évidence frappa co
a poitrine, une douleur qui ne semblait jamais vouloir s'arrêter. Et au même mo
respirais. Une connexion brute, une pulsion irrépressible. Je ne pouvais plus l'ignorer, je ne pouvais plus fa
vais
r mon bras, douce mais ferme, comme un avertissement. Je ne voulais pas me retourner, je ne
ye
t contrôle. Son regard était froid, mais... il y avait quelque chose en lui. Une profondeur, une s
-il, sa voix bass
ain d'un coup sec. Mon corps était tendu, ma peau en feu, chaque mu
brisée. Ce n'est pas poss
. Une destinée scellée par le destin. Mais ce lien,
ignaient. Le même homme qui allait devenir mon compagnon, celui que je
à une lutte intérieure dévastatrice. D'un côté, le lien qui m'attirait irrés
ais pas l'entendre. Je ne voulais pas qu'il me par
ieds semblait se dérober. C'était comme si l'univers entier se réduisait à lui, à cette sensation impossibl
i tranquille
ait devenir flou, comme si seul lui et moi existions. C'était effrayant. C'était comme si la terre se dérobait sous mes pi
Je... je suis **libre**. Je ne peux pas...
Je n'avais jamais eu l'impression d'être aussi vulnérable. J'étais un animal pris
n... il existe, et il n'y a rien que nous puissions faire pour l'efface
voix m'enserrant
, ne pouvons comprendre encore. Mais je te le promets, il n'y a
un mélange d'herbes sauvages et de bois brûlé, m'envahit, et je sentis la chaleur de son corps s'approcher davantage. Je voulai
ordis l
Vous ne comprenez pa
radictoires. La peur et la tentation. La rébellion et le désir. Le rejet et la...
ivais plus à bouger. Mon cœur, cette chose fragile qui
ne suis pas ton ennemi. Nous avons plus en commun que tu n
oire, je ne voulais pas... mais quelque chose en moi le désirait. Ce lie