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Rejetée par les siens

Chapitre 4 04

Nombre de mots : 1698    |    Mis à jour : 21/03/2025

rnés vers les montagnes. Même les bruits des feuilles soufflées par le vent cessèrent comme si la forêt entière retenait son souffle. Elara, le cœur battant à tout rompre, sentit une

Ses yeux étaient sombres, empreints d'une inquiétude qu'elle ne lui connaissait pas. Il s'ava

ien, de plus profond, quelque chose que la terre elle-même semblait ressentir. Elle fit un pas en avant, prête à intervenir, mais Kael la

e. Mais ce cri signifie qu'une porte a été ouverte. Et je

me appréhension. Mais il n'y avait pas de retour possible. La guerre qui se profilait, les menaces invi

re elle-même était en train de s'éveiller. La terre trembla légèrement sous leurs pieds, et les arbres se mirent à frémir dans une danse nerveuse. C'était un

cés, se tourna brusquem

s nous rendre au cœur des montagnes. Le da

auteurs, où l'air devenait plus frais, plus sec. La lune, haute dans le ciel, semblait les guider. Elara suivit, son esprit agité par les visions floues de ce qu'elle venait de ressentir. La

ation. Plus ils grimpaient, plus le vent semblait se renforcer, comme une main invisible les poussant en avant, mais aussi comme un avertissement.

emps et la végétation, mais qui portait des marques évidentes d'un rituel récent. Des symboles gravés dans

magie que la Meute des Cendres a longtemps oubliée. Mais elle est toujours là, prête à se réve

d'elle était saturé d'une énergie palpable. Elle frissonna, ses mains se serrant autour de

ntenant ? demanda Elara, sa

question ne pouvait pas recevoir une réponse simple. Ils étaient sur le point de s'av

ons comprendre ce qui a été réveillé.

que ce qu'ils allaient découvrir p

saturé d'une énergie ancienne, semblait se tordre autour de chaque mouvement, chaque respiration. Les guerriers, pourtant aguerris à tous types de combats, se t

les anciens gravés dans la roche, des runes qu'elle avait étudiées sans vraiment comprendre leur signification. Ces marques n'étaient pas humaines, ni même d'origine terrestre. Elles sembla

me respirait. Elara frissonna. Il y avait quelque chose de terriblement vivant dans ce lieu. Ce n'était pas simplement

épée d'un geste presque mécanique. Il se tourna vers ses guer

se, presque inaudible. Seuls ceux qui savent ce

endre les premières décisions. C'était son rôle, son devoir. Mais l'incertitude se propageait c

remplacée par une lueur pâle émanant de cristaux en forme de runes qui brillaient faiblement sur les murs. Le sol était inégal, jonché de débris et

ent. Elara, elle, se sentait observée. Non pas par les guerriers derrière elle, mais par quelque

ara avait l'impression que quelque chose se préparait, une force prête à se déchaîner à tout moment. Ses yeux se posèrent sur une pierre centrale, plus grande que les autres, marquée d'une rune en particulier,

e, et Elara sentit une lourde appréhension s'emparer d'elle. Elle savait qu'il allait

murmura-t-elle, sa voi

vers elle, un regard grave,

-il d'une voix calme, presque sage.

se fit entendre dans les profondeurs du temple. Ce n'était pas simplement un bruit, c'était un appel. Un appel à t

a, la faisant chanceler sous la puissance qui se déchaînait. Un cri perça l'air, cette fois plus pr

eur qui ne lui ressemblait pas. Il tendit la main vers elle, mais avant qu'il ne p

ouette floue, comme un spectre sorti des tréfonds des âges oubliés. Ses yeux étaient vides, comme

a voix du spectre, profonde et réson

onde autour d'elle s'effaça presque, se réduisant à cet êt

Un éclat de lumière aveuglant les enveloppa, et avant qu'Elara ne puisse comprendre ce qui se passait,

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