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Un cœur, deux prétendants

Chapitre 2 02

Nombre de mots : 1837    |    Mis à jour : 10/03/2025

entre nous, je sentais encore la chaleur brûlante de son regard sur moi. Il émanait de lui une aura indomptable, presque préda

n estomac se nouer sous

er dans votre monde, soufflai-je, plus p

ourire qui disait que lui savait

t-il, amusé. Alors pou

était approchée, son bras effleurant le mie

e à ma place. Et que vous, mes chers amis,

t perçant. Comme si elle sondait déjà l'issue d

ant lentement, et ce simple mouvemen

est dangereus

vie intéressante, répliqua L

fragile venait d'être trouvé entre eux. Puis Lars cl

as, laisson

acier se posa su

. Reprendre ta vie normale, oublier

e, me laissant abs

ter. Et voir jusqu'où la

d

actement ce

c'est que ça

p vite, mon esprit était un chaos de pensées contradi

ntement les y

e r

d appuyé, comme s'il évaluait les conséquences de ma décision avant même que je ne les réal

e réponse,

ux mots, mais une chose était certaine : je venais de franchir une fron

arut devant moi. Un liquide ambré, dont les reflets dans la lum

donna-t-il

ai un

orte de rite

début des choses, expliqua Ten, sa voix cal

une confirmation silencieuse. Elle me rép

ple verr

ut la tension dans l'air qui me fit frissonner. Comme si, à l'instant où le

couda au bar en me re

intenant,

on verre, un geste anodin en apparence, mais

es-tu prê

issait plus seulement d'une simple soir

œur cogner cont

pas, admis-je

de prendre la parole pour la p

onse acceptable

remière fois, je sentis qu'il me testait, qu'i

errons, conclu

t Letya leva son verre

a partie, ma belle

je sus que ma vie ne se

dans ma cage thoracique. Malgré l'agitation du club, je n'entendais plus rien d'autre que

ait quelque chose de sous-entendu, une communication muette qui me donnait l'

dain Lars en attrapant son v

a un sour

atigué,

biance ici devien

ouvement de tête avant de d

vie

d'une question. C'éta

mes dans la foule, à cette vie d'avant qui semblait déjà me

suivit de près, tandis que Letya m'offrit un der

na. Avec eux, on ne re

il était déjà trop

-

iné. À peine sortie du club, une bouffée de liberté et

che de sa veste en cuir. Le briquet cliqueta, et une lueur vacillante éclaira son visage

emanda-t-il, me t

No

effleura

nne

re de la voiture et attendit. Pas un mot, pas un geste

'allais monter dans cette voiture, les s

ma réaction a

échis tro

e nous jusqu'à ce que je puisse sentir la chaleur de son corps contre le m

-t-il, sa voix plus d

ins son

No

sou

ns e

épliquer, Ten rompit le mom

Mo

ésitai

l'intérieur d

ière se

estin av

rtifs à travers les vitres sombres, mais tout semblait plus net à l'intérieur, comme si l'air lui-même avait changé de texture. Mon cœur

a fumée se dissiper lentement dans l'air. Ten, à côté de lui, semblait aussi imperméable à l'agitation ambiante que d'habitu

'œil vers moi, comme pour évaluer ma réaction, et je pouvais presque entendre la

i j'avais franchi cette ligne, ou si elle m'avait

lence. Il écrasa sa cigarette dans le c

ton choix. Mais il y a quelque ch

vertébrale. Il y avait dans sa voix cette promesse si

as de retour

la tension de ses paroles s

ent. Il scrutait chaque mouvement, chaque

trôle, ajouta Ten, mais le c

ers moi, son regard aussi perçan

s ici, Davina, mais dans ce monde

d d'angoisse se for

ndai-je, ma voix plus trembl

sourire réconfortant. C'était le sourire de qu

t-il, sa voix se faisant plus douce, presque mielleuse. Nous avons

entre eux, avec eux. Et malgré tout, au fond de moi, il y avait cette étincelle de curiosité, cette soif inavouée

prix ? murmurais-je pre

son regard planté dans le

sois prête, Davina. Ce que tu cherches ici n

du. La voiture roulait, emportant nos destins dans son sillage, et tout ce q

ait, et je savais qu'aucun de nou

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