La Mafia et La Reine Alpha
pit
ttirer l'attention. Les souvenirs de son passé avec la mafia ne la lâchaient jamais, une présence omniprésente dans chaque coin de son esprit. Elle avait pris un nouveau nom, une
ion de surveillance, un malaise indescriptible. Ses pas accéléraient sans qu'elle ne puisse se contrôler, chaque coin de rue semblait plus menaçant. Puis, une silhouette dans son rétroviseur. Elle la remarqu
ait si fort qu'elle en avait mal à la poitrine. Un frisson glacial parcouru
as, mais l'inconnu la suivait toujours. Il ne se précipitait pas, prenait son temps, mais il n'y avait aucu
regarder par-dessus son épaule. Elle se faufila entre deux voitures garées, tenta de se fondre dans la foule. Mais ce n'était pas suffisant. Les pas de
rrière elle. Il n'avait pas cessé de la suivre. L'homme était plus rapide qu'elle ne l'avait imaginé. Elle entendit son souffle rauque. L'angoisse monta en elle, menaçant de l'étouffer. Elle se retourna brusquement, mais l'homme
son passage. *Si je perds ce type, je peux me cacher. C'est tout ce que j'ai à faire : m'échapper.* Elle tourna une nouvelle fois, priant pour que la rue ne se termine pas en cul-de-sac. L
e, elle aperçut Lisa, sa meilleure amie, qui ven
inuer à vivre comme ça, lui
Clara, encore essoufflée. Je n
sée tant de fois, mais aujourd'hui, la réponse semblait plus évident
e, Clara. Tu dois arr
reconstruire sa vie, pour sortir de ce monde. Mais voilà qu'il était de retour, tout autour d'elle, sous des forme
la voix tremblante. Mais..
anger. Elle n'avait pas tort, mais Clara était piégée, et personne, pas même
rent à un événement mondain. Lisa insista pour que Clara l'accompagne à une soirée où elle pourrait se « changer les idées ». Cla
ré de gens influents, mais il se tenait à l'écart, observant tout autour de lui, d'un regard perçant. Clara n'aurait jamais cru qu'il la remarquerait, mais ses yeux se posèrent sur elle, froids et calculateurs, et dans
nda Lisa, observant
e connaître, répondit Clara, la voix
, tu viens de le remarquer. Il est.
'une manière presque possessive. Elle en avait l'impression. Elle savait qu'il n'était pas juste un homme d'affaires. Il y avait quelque chose de plus, quelque chose