La Mafia et La Reine Alpha
pit
toute sa vie, et ce soir, il lui hurlait de faire demi-tour. Anton était dangereux. Il n'y avait rien d'évident dans so
nte. Pas juste à cause de son charisme ou de sa prestance – bien qu'il en soit doté en abondance – mais à cause de
mme lui. Alors elle se força à bouger, à se mêler à la foule, à se fondre parmi les invités, mais u
lar
siblement ravie d'être là, mais elle fro
a v
Ou
omme. Ce serait lui donner trop d'importance. Pourtant, elle s
tué à jauger les gens, à comprendre leurs intentions d'un si
ude. Ce mélange d'as
vait. Il le voyait dans la façon dont elle évitait les conver
foule, prenant son temps, mais
autour d'elle s'était modifiée, une tension à peine percepti
p p
sans qu'elle ne pu
nouvel
était grave, posée, marquée par une a
n homme qui pose
vres. Pas un vrai sourire.
e obtenir d
re ne la quittait pas. Il cherchait quelq
ai rien
entre eux, mais il bougea à peine et pourta
pourquoi
ranchante. Il l'avait percé
ne fu
aime
eur calculée. Il analysait tout, chaque
it partir.
'éloigna sans lui laisser le temp
on intérêt piqué à vif. Une femme qui fuyait
e ce n'était pas le moment de cr
n flottait
isible qui par
ger, mais il était là. Caché, tapi dans l'omb
moment
'un silencieux perç
. Son corps bougea, esquiva, attrapa la première chose qu'il trouva –
i rés
rres tombèrent, le chaos s'inst
ale, vit tout comme au ralenti. Anton, touj
elle
ette tendue, arm
échir, el
ait même pa
elle connaissait ce
vie lui criait que si elle ne faisait
înant sur le côté au moment où une deuxièm
elle atterrit à moitié s
e chez toi, de plaq
une pointe d'ironie, mais ses ye
de comprendre qu'elle n'ét
ipitamment, le cœur b
prévu de te sauve
nt ce que tu v
essèrent au
ant avait
ue chose a
qu'elle n'était pas un
'elle venait de faire