La Mafia et La Reine Alpha

pit

serrés, le souffle court. Anton venait d'entrer dans sa vie d'une manière qu'elle n'aurait jamais imaginée, et elle n'avait aucune intention de lui offrir c

na brusqueme

ni de tes jeux de pouvoir. Je suis parfa

nstruite autour de ses émotions. Il n'avait pas l'air d'être affecté, pas le moindre signe d

de ce que tu veux, Clara.

usant de céder à l'influen

oin de toi, Anton

comme un prédateur qui s'amuse à jo

artir d'ici, Clara ? Que tu peux t

ments de son cœur s'emballant à mesure que

à être ici. Tu m'as mi

t elle, trop proche, ma

Tu veux fuir. Mais tu sais aussi

se. Elle le détestait pour cette vérité, pour cette situation dans laquelle il l'avait plongée. Elle n'était pas comme lui. Elle

bruit inévitable qu'elle connaissait bien. Anton la suivait. Comme toujours. Elle accéléra, courant dans la direction opposée, mais

loigna des bruits de la ville, des lumières, en cherchant la moindre faille, le moindre recoin où elle pourrait se c

souffle erratique, alors qu'il

ment pouvoir t'

oufflée, le défi br

rois que tu peux tout contrô

, inébranlable, son regar

une fois. Peut-être même deux. Mais ça

le disait, tout ce qu'elle faisait, il l'avait déjà anticipé. Il la conn

nton. Et je vais le faire, encore et encore, jusqu'à c

silence presque suffocant, avant qu'il n

fais que t'enfoncer plus profondéme

fuir. Elle savait que cela ne servait à rien. C'étai

ta protection. Je ve

sursauta, mais ne se dégagea pas. Elle savait que cela ne servait à rien. El

le choix. Il y a des gens qui te traquen

norer. Ce monde, ce passé, la mafia, tout cela la suivait comme une ombre. Anton n'était peut-êtr

en avait aucune. Elle s'était mise dans cette situation en choisissan

nton. Je suis parfaitement cap

uis, sans la lâcher, il ajo

, Clara, dis-moi la vérité. Pourquoi tu

a forçait à rester calme. Elle n'avait pas le choix. Elle ne pouvait pas menti

s juste... je suis juste en train de fuir un

l de son visage. Il attendait qu'elle flanche, qu'elle montre la moi

sur elle, mais pas sans lui l

, mais tu n'as même pas compris que tu m'

ue, avec l'amertume de la réalité. Elle était piégée. Pas seulement par lui, mais par ell