Séduction fatale
chaque objet une promesse non dite de vérités cachées. La bibliothèque, où elle avait trouvé les premiers indices, ne suffisait plus à apaiser ses inquié
n maître cruel. Non. Elle devait découvrir davantage. L'envie de fuir, de comprendre, de s'échapper, la p
loirs déserts, et la tension montait à chaque porte poussée. La maison, bien qu'élégante, semblait froide et sans vie, comme si les ha
n semblait l'observer, la scruter, mais elle n'avait pas le choix. La poignée se tourna sous sa main, et elle pénét
doucement les tiroirs. Le premier ne contenait que des lettres scellées, des cartes anciennes, des documents d'apparence anodine. Mais da
sans importance. Mais en tournant les pages, elle se rendit compte que ce n'était pas un journal ordinaire. C'était le journal intime d'une ancienne amante de Kamel. Les mots étaient imprégnés d'une chaleur
lait avoir été subjuguée par Kamel dès leur première rencontre. Mais au fur et à mesure des écrits, une autre image émergeait. Kamel n'était pas simplement un am
i avait promis monts et merveilles, mais ses actes étaient imprégnés de cruauté, de gestes calculés. Il laissait des bribes de vérité, des miettes de douceur, pour la ma
ges et de manipulation. Kamel semblait jouer à un jeu mortel, où les règles étaient invisibles et où la victoire ne signifiait pas la libération, mais la domination totale. Chaque mot da
ictime d'un homme séduisant, mais celle d'un prédateur brillant, un maître des jeux psychologiques. Kame
promesse de rédemption, d'un amour sincère, mais aussi d'une manipulation plus insidieuse. À un moment donné, le journal parlait même de la disparition de cette amante, de sa fuite précipitée et de la
ssion d'une femme brisée, mais un avertissement. Kamel n'était pas l'homme qu'il prétendait être. Il n'était pas un amant passionné, un homme épe
me était en train de respirer. Amara se leva, sa décision prise. Elle devait s'échapper. Mais les ténèbres de cette maison étaient plus profondes que ce qu'ell
plus jamais faire confiance à Kamel. Elle devait jouer à son jeu. Mais
elle, une ombre se faufiler dans l'espace clos. Le froid de la pièce s'intensifia alors que la porte se re
peux jouer à ce jeu sans en
mel, son regard sombre planté sur elle. Un mélange de surprise et de colère perçait à travers la façade de contrôle qu'il s'ef
rètes, semblaient désormais bien futiles face à la menace qui émanait de lui. Elle n'avait pas prévu de le confronter de cette manière, e
a nervosité qui la gagnait. « Je... je n'ai rien fait, » balbutia-t-elle, bien que
« Tu crois que tu peux fouiller dans mes affaires sans en payer le prix ? Ce
Je n'ai pas... je n'ai pas l'intention de te nuire. » Sa voix tremblait, mais elle fit de
même pas ce que cela implique. » Il s'avança davantage, chaque mouvement dégageant une aura d'int
u. Elle sentit la pression monter, le piège se refermer lentement sur elle, mais une étincelle de défi brilla dan
lus ferme, bien que son cœur battait à tout rompre. « Je suis piégée
ue tu as le choix ? Tu n'as aucune option, Amara. Tu vas rester ici, à ma disposition,
elle savait que réagir impulsivement risquait de sceller son destin d'une manière qu'elle ne pourrait plus contrôler. S
dit-elle, plus calme mais résolue. « Tu peux ess
Oh, tu crois cela, n'est-ce pas ? » murmura-t-il, une note de menace cachée sous la surface. « Je te conseille de ne pas chercher à me défier davan
ue tangible, la fit frissonner. Elle pouvait sentir l'énergie menaçante qui émanait de lui
ster était plus forte que la tentation d'obtenir des réponses. Mais il ne lui laissait pas de choix.
sur elle, une menace silencieuse flottant entre eux. « Nous n'av
. C'était une alerte. Elle ne s'était pas laissée intimidée, pas encore. Et tant qu'elle pouvait encore respirer, elle allait chercher à comprendre. Mais cet