Séduction fatale
e à elle, sa silhouette imposante et son regard glacial comme un piège dont il savait qu'elle ne pourrait jamais s'échapper.
vourait sa victoire. Il n'avait pas dit un mot, mais la pression de son regard suffisait à lui f
firent naître une colère froide au fond d'elle. Il n'avait pas simplement pris possession de son corps la nuit précédente, il voulai
on naquit en elle, aussi timide fût-il. Elle se redressa, essayant de masquer la peur qui bouillonnait en elle. « Je
ais partie de mon monde maintenant, un monde où tu n'as pas de place autre que près de moi. » Il se rapprocha lentement, chaque pas mesuré, ch
plus n'avait pas compris qui elle était. Le désir de fuir, de f
ignée, mais elle se retrouva face à un obstacle infranchissable : la porte était verrouillée. Elle poussa sur le batt
is simplement accepter ce que vous me faites ? » Sa voix
elle sentait sa chaleur imprégner l'air autour d'eux. « Tu as voulu jouer, Amara », murmura-t-il, sa voix basse
ouchez pas », articula-t-elle, sa respiration s'accélérant sous la pression de sa proximité. Mais ses mots se perdaient d
s faire. Tu es piégée ici avec moi. » Il appuya davantage, la forçant à se tenir im
orts pour se libérer réduits à néant par la force qu'il exerçait sur elle. Mais il y avait e
ais Kamel la maintenait fermement contre lui, sans relâcher la pression. Il la secoua alors
à s'échapper, à se libérer de cette étreinte oppressante. « Vous n'avez rien compris
éstabilisa plus encore. « Ce n'est pas un jeu, Amara », dit-il d'un
r son corps de celui de Kamel. Elle parvint à glisser une main sous son empris
? Et pourquoi cet homme, si implacable, semblait jouir de son tourment ? Son regard se fit plus perçant, plus calculateur. Elle comprit soudain que Kamel
porte de céder à sa volonté. Un léger cliquetis se fit entendre. Ell
cette porte qui venait de se libérer. Mais en un instant,
ra-t-il, son ton plus froid
urs tendus d'un silence lourd, presque suffocant. Elle avait l'impression d'évoluer dans une maison où chaque recoin, chaque objet était une promesse de
lée semblait l'inviter. Elle s'approcha prudemment, le cœur battant la chamade. L'odeur de bois vieilli et de cuir flottait dans l'air, rappelant une
anciens aux reliures de cuir et des photographies jaunies. Amara s'approcha, intriguée par les documents qui traînaient sur un bureau en bois massif. Ses ma
s, et des alliances douteuses. Des mentions récurrentes de « sacrifices », de « pactes », et de « propriétés » éveillèrent une vague d'inquiétude en elle. Des no
t de pouvoirs occultes. Il y avait, entre les lignes, des allusions à des contrats impossibles à briser, à des liens de sang plus forts que n'importe q
as un simple homme d'affaires. Il était lié à quelque chose de bien plus vaste et bien plus dangereux que ce qu'il voulait bien lui faire croire. Ce qu'elle
tura. Là, elle trouva une petite boîte en bois sculpté, dissimulée derrière une étagère. Ses mains, hésitantes, soulevèrent le couvercle. À l'intérieur,
t du nom, une silhouette familière qui avait souvent été évoquée au cours de ses recherches sur la famille. Mais ce qu'elle lut là la glaça jusqu'aux os. « Victor Nightshade », selon ce docume
ble et distant, était l'héritier d'un héritage dont elle ne pouvait même pas concevoir l'étendue. Elle n'était plus simplement une victim
t là, sa silhouette s'imposant dans l'embrasure de la porte, son regard glacial se posant sur les docume
ent, sa voix grave et impassible. « Mais certaines
rtir indemne de cette pièce. La chasse à la vérité, celle qu'elle venait d'entamer, venait de prendre une tour