La Seconde Chance des Amants Loups-Garous
eine, haute dans le ciel, baignait la clairière d'une lumière argentée, faisant scintiller la glace accrochée aux branches nues des arbres. Tout semblait paisible, figé dans
le tenait entre ses doigts
danger imminent, une ombre rôdant à la lisière de son univers protégé. Elle ne pouvait pas ignorer ce que son co
t. Le bois brûlait dans la cheminée, projetant des ombres vacillantes sur le
rion a enco
bouche plissée en une moue contrariée. Orion, quant à lui, haussa
s mes pensées, il devine juste bien
e énergie brute en eux, ces dons qu'aucun loup de leur âge ne possédait. Orion, du haut de ses cinq ans, pouvait influencer les animaux sans même un mot. Sirius guérissait à
savait p
e. Ils étaient les enfants d'un Alpha. Pas n'importe lequel. Lysandre Voss. L'homme qui, il y a
. Filez sous les couvertures, sinon la
er. Elle les borda un à un, déposant un baiser sur leu
ce serait la dernière nuit pais
*
de son sommeil comm
lé, ses sens en éveil. L'odeur du sang f
ama
parquet. Lorsqu'elle ouvrit la porte de la chambre des e
dans les bras d'un inconnu, hurlant de toutes ses forces. Lune pleurait, luttant contre un au
! rugit-ell
que chose de dur frappa violemment son crâne. Une
ol, sa vision se noy
elle perçut fut le
plus
*
losa dans son crâne. L'air était glacé, l'od
os, cherchant à rep
lui revint
! Lune !
oppressant
a chambre des enfants était vide. Les draps en désordre, les jouets épar
de papier, posé en évidence sur la tab
rit, griffonné d'une ma
ndre Voss. Il e
le, la rage et la panique s'entremêla
ndre
qu'elle
it même pas que ses
pouvait l'aider
ous osez croire que vous avez tourné la page. Cassiopée n'avait jamais cherché à oublier cette nuit-là. Parce qu'oublier signifiait trahir.
clairière. L'herbe, encore humide de la pluie du matin, collait à ses chevilles nues alors qu'elle
roisé le sien. C'était une évidence. Ils étaient faits pour être ensemble. Il n'y avait jamais eu de dout
possible,
nce dans la chair. Elle s'était redressée, cherchant son regar
impossible. Je
r. Mais pas à ce silence glacial, à cette expression
No
ot. Brutal.
-t-elle, sa vo
ant les bras comme s'il érig
sommes jeunes, Cassiopée. Je ne
ffle se
e *
d devint
e t
us ses pieds. Ce n'était pas r
s. Je su
*N
a d'elle avant qu'ell
U ME
ant à son désespoir. Et ce fut à cet instant qu'elle sut. Qu'elle comprit que peu importe c
le était
nt aussi son propre cœur bris
i, elle n'avait
le comme des ronces. Lysandre était peut-être la dernière personne qu'
qu'elle consulta avec attention. Mais même si elle savait où il se trouvait, elle sa
de le localiser sans erreur. D'un mo
ortit un médaillon d'argent. Un artefact ancien, imprégné de magie in
y avait un prix. L'utiliser, c'était comme allumer un feu dans l'obscur
yeux, inspira
ouvrit le
ur aiguë lui vrilla la tête, et une image s'imposa dans son esprit : un manoir imposant, de
and
information qu'un bruit retentit derri
d'un bond, ses gr
rillaient d'une lueur espiègle, mais c'était la cicatrice sur sa joue qui attira l'attention de Cassiopée. Une marque en forme de lune croissante,
tration, murmu
e relâcha p
i es
, dévoilant des
mie pot
en d
haussa le
Mais je crois que nous
fronça les
t tu me
qui brille comme une étoile dans l
parcourut
i es
cha lentement, t
rois que tu vas a
ne faisait confiance à personne. Mais
nstant d'hésitati