La Seconde Chance des Amants Loups-Garous
rsaut, le souffle court, le
dans sa chair : la forêt en flammes, les arbres éclatant sous l'impact des flammes, les triplés...
e la lueur vacillante d'une bougie jetait une lumière morne sur les murs de pierre. Elle tourna la tête, cherch
oix était faible, co
es traits marqués par la même terre
'est-ce pas ?* demanda
uiesça l
mment, le regard perdu dans les o
leurs yeux. Les triplés... Leur souffr
ha, son regard pr
x tremblait, déchirée par l'incer
r les images du rêve, mais elles restaient, fixées, com
friss
en danger,
son visage durci p
us allons l
elle percevait une angoiss
partagé et perdu. Un lien de sang, d'âme, un lien qu'ils
lorsque la porte s
e marqué par les ombres de la nuit. Elle s'arrêta un instant, obse
oujours quelque chose d'étrange chez elle, un
pas ?* dit Lysandre d'une voix tendue, son
Elle s'avança, ses yeux s'éteignant
Puis, d'un geste, elle se jeta dans le vide
lottèrent
la suite, consciente que chaque rév
nt d'eux, sa voix plus fa
nt de poursuivre. *Tout ce que vous savez est faux. Je ne
un éclair de méfianc
veux dire ?* demanda
e si elle se préparait à un comba
marqua une pause, cherchant une manière d'expliq
son parcourut la peau de Cassiopée, une sensation de vertig
épéta Lysandre, s
nt la tête, son rega
s mort. Il n'e
l la traversant. Tout à coup, les pièces du puzzle se
mprenant pas. *Si ton frère est... si tou
ers eux, ses yeux brilla
ndre.* Sa voix se brisa presque sous le poids du poids du secret. *Il voulait te détruire. I
rrêta un
baissa la tête, honteuse. *Je n'ai fait que le suivr
secrets et des sombres manipulations, réson
clater dans une lumi
e plus, un bruit sec fit écho dans l
s se tou
perça l
is
tte déjà en fuite. Dans sa m
sandre, ses yeux se fixant
tout ce qu'
e échangèrent un reg
sur les enfants, tout était en jeu désor
ogna Lysandre, un écla
aque battement résonnant comme un tambour de g
. Jamais. Mais parfois, même les plus grands dés
urs pas, les éclats de rage dans l'air, les échos de la quête qui les avaient poussés ici, dans c
s l'élan, elle se retrouva face à lui, trop proche. La rage qui brûlait d
, brûlante, mais qui se transforma immédiatement en quelque chose de plus complexe. Quelque chose de plu
la plaie qu'il venait de créer. Mais trop tard. Il ava
ain, son regard devenu lointain, comme si un voile de
tant en lui, une peur nouvelle, qui n'avai
l, sa voix vibrante d'inquié
perdu dans un abîme qu'il n
blait. *Ne t'inquiète p
, bien que fragile, se renforcer. Un lien d'âmes, celui qu'ils avaient jadis partagé et qu'il pensait déchiré
utre sensation, une sensation plus lourde. Ils étaient liés. Par
tement, remplis d'une douleur qu'il connaissait trop bien. Ils avaient passé des ann
La seule chose qu'il pouvait faire maintenant é
...* murmura-t-il. *On va retrouv
te, mais son regard se per
l'étendue. Mais l'Alpha sentait au fond de lui que l'heure du combat venait de changer. Ce q
dans l'air. Cassiopée leva brusquement la tête. Il y avait un bruit lointain, comme un cri
re à ses côtés. Il savait qu'elle ne le laisserait pas partir seule. Même s'il avait réacti
un abîme sans fin. Là, dans les ténèbres, une silhouette se dressait. Il y avait quelque cho
corps. Un frisson la parcourut lorsqu'un éclat de lumière verte illumina
voix était à pe
choc électrique le stoppa dans son éla
l, Lysandre. Corvus
, celui qu'il avait pleuré pendant des années, celui qui avait disparu dans les ténèbr
t vers eux, un sourire si
presque douce, mais il y avait un ton de mépris sous-jacent. *Mais tu voi
gs, un grondement menaç
Pourquoi avoir manipulé tout
rvus s'élargit,
pour mieux observer le visage de son frère. *Vous avez été trop naïfs. Vous ne voyez
expression sur son v
nous avons commencé. Rendez-vo
que ce n'était pas une simple invitation. C'était un ordre. Et
à ses règles. Mais la question qui brûlait dans l'esprit de Lysandre et Cassiopée é