La Seconde Chance des Amants Loups-Garous
contre ne pouvait être évitée, même si Lysandre et Cassiopée l'avaient repoussé autant qu'ils le pouvaient. Et pourtant, il
ion. Tout chez lui, de son regard glacial à son sourire de mépris, transpirait l'arrog
vait un plan, un plan pour briser leur groupe, pour s'approprier ce qui ne lui a
laciale, fendit le silence. *Tu ne crois pas q
serra l
i, Tristan. Libère Élodie. Si
mait ses traits. Il avait capturé Élodie, la tenait attachée à un arbre, son regard fuyant, comme u
, son ton mielleux mais perçant. *Si tu veux la revoir en
is il savait aussi que chaque mouvement en avant pourrai
à perdre avec toi, Trist
e dénué de toute joie, un rire
regard se glissant sur Cassiopée. *Tu penses
e qu'il n'avait pas voulu planter. Mais une partie de lui savait déjà que les e
ristan ?* demanda Cassiopé
eux étaient remplis de détermination, mais aussi d'une profonde inquiétude. Elle savai
e s'effaçant pour laisser plac
u n'as toujours pas compris, n'est-ce pas ? Tu penses que tu contrôles tout ici, mai
n, il savait qu'il n'était pas du genre à renoncer. Il était un manipulate
-nous en dehors de tes jeux.* La voix de Lysandre était glac
an ri
oujours capturée. *Tu te crois au-dessus de tout, mais tu as tort. Élodie est la c
ses yeux une réponse qu'il ne trouvait pas. Mais Cassiopée était perdue dans ses pensées, ses sourcils
-elle, sa voix douce mais ferme. *Va ret
éfait, une vague de co
ule, Cassiopée, on est
termination qui faisait écho à la sienne, une lu
choisis, alors tu laisses nos enfants entre les mains de Corvus. C'est ce que tu veux vr
bien qu'il fût sur le point de la suivre, se retrouva à
art plus ancienne, voulait la sauver. Il lui devait bien ça. Mais l'autre p
ots pleins de regrets. *Je revien
éclata
rop lent,
es arbres, tandis que Lysandre, déchiré, regardait Élodie et tristan. Il
ans son esprit. Ils étaient liés. Ils l'avaient toujours été. Mais maintenant, il devait ch
, une prophétie vieille comme le monde, une prophétie qui disait que les triplés seraient le
l savait une chose : ses enfants n'étaient pas seulement en dange
la lumière refusait de pénétrer ses murs. Cassiopée le regardait de loin, sentant le poids du passé écraser son cœur. Ce château n
omme si elles étaient les témoins silencieux d'une histoire qu'elle n'avait pas encore pleinement comprise. Mais ce qu'elle s
e n'avait pas pris à la légère, mais qui se révélait nécessaire. Si elle ne pouvait pas sauver ses enfants ave
nt son visage avec la douceur d'une caresse de spectre. Ses pas se firent plus lents, mais son cœur, bien qu'il batt
Des torches vacillantes, fixées aux murs, diffusaient une lumière tremblante qui dessinait des ombres inquiétantes sur les tapisseries décolorées. Le silence ét
coin, chaque pièce, cherchant un signe, un indice qui pourrait l'aider. Mais tou
un piège invisible. Le sol sous ses pieds se déforma, les formes se fondant en une mer d'ombres et de lumières mouvantes. E
bre froide et dénuée de chaleur, où Lysandre l'avait rejetée. Elle le voyait, là, deva
pas accepter ç
que émotion, comme si c'était hier
prêt à être un p
e pas qu'il faisait l'éloignait d'elle encore un peu plus, emport
ns une autre pièce, plus lumineuse, plus joyeuse. Elle se voyait, tenant ses triplés dans ses bras, la chaleur du soleil filtrant par la fenêtre, l'espoir dans ses yeux. Elle se souvenait du
mière, et les illusions n'étaient que des mirages.
rai pas, mes enfants. J
n'avait pas le temps pour la nostalgie. Il y avait des choses plus importantes à ac
r l'avaient transformé en quelque chose de bien plus sombre, bien plus redoutable. Son visage, une fois beau et fier, était maintenant marqué par des brûlures profondes, des cicatr
de rancune dans le regard. *Tu as pris ma
de Cassiopée, mais elle se redressa immédiatement, refusant de céder à la peur. Elle n'était
a voix pleine de défi. *Tu t'es perdu dans ta prop
pas en avant, et la pièce sembla se refermer autour d'eux. Les m
que tu peux tout réparer en une seule nuit ? T
ait naître de ses blessures. Cassiopée sentit une force oppressante peser sur elle, comme
e, ses yeux brillants d'une lumière intérieu
eta sur elle, mais avant qu'il ne puisse la toucher, une silhouette surg
Les éclairs d'énergie pure fusaient, créant des éclats de lumière aveuglants. Corvus hurla de rage, ma
ment, Élodie parvint à désarmer Corvus. Elle le regarda, se
Trouve-les. Cher
ns l'esprit de Cassiopée comme un gong. La Lune N
rontement, juste à temps pour voir Corvus se relever, furieux. Mais elle n'eut pas le te