Les roues du destin
on pour nettoyer et repeindre l'endroit. Il fit appel à un ami designer pour créer un logo acc
le submerger. Voir ces véhicules parfaitement alignés devant son enseigne
'une berline noire et inspira profondéme
boulot,
uché quelques jours plus tôt. Un gars solide, avec des mains c
penses
potentiel. Mais t'es sûr d'
accrochée sur la vitrine. **"Walter A
s que
*
la en vitesse et arriva au garage avant tout le monde. Il alluma les lumières, vérifia une
cises, il ouvr
téressés, et quelques-uns étaient là juste pour jeter un œil. Joe accueillit tout
à signé son premier
mber sur son fauteuil avec un soupir satisfai
a concession. Il coupa le moteur et resta quelques secondes à observer l'enseigne fraîchement installée. **Walter Auto**. Son nom, gravé en grandes lettres bleues et bl
peinture encore fraîche lui sauta au visage. Il aimait
ebout, p
Mark, son mécanicien, était déjà là, accou
te poser la
mencent tôt, répondit Mar
voitures sur le bout des doigts, et il travaillait vite. Il n'avait pas posé trop de questi
sse journée, annonça Joe en
ssa un s
oua
ien, on signe notre
fla d'ad
traîné. A
le. Ils ont besoin d'une diza
la tête, im
du beurre dan
prise. Jusqu'ici, les ventes avaient été bonnes, mais un contrat de cette ampleur
*
ans ses cheveux en ajustant sa veste. Il n'aimait pas particulièrement
t la concession. Un homme en costume gris en sortit,
avec un sou
rter, ravi de
e lui serra la ma
ous avez préparé une off
ça, répondit Joe en
essaires. Il leur expliqua son offre avec clarté et assurance, insistant sur l
ncher, parcourant les pa
métier. Pourquoi devrais-je vous faire confianc
a calmement ses coudes sur le bureau et
t à tout pour prouver q
lentement, un sourire se dess
otre déter
na les documents et t
er. Vous avez votre p
onter en lui alors qu'il serrait
*
a tomber dans son fauteuil en poussant un long soupir. Mark entra
, c'est
, un sourire trio
est
sif
mec. C'e
e s
s semaines, il avait réussi à établir son entrepris
ussi que ce n'ét
*
on, et de plus en plus de clients commencèrent à franchir les portes de Walter Auto. Le téléphone sonnait s
ande, il leva les yeux et vit Mark en grande discussio
, Joe s'
e qui se p
a vers lui av
ny. Un p'tit génie de la méc
atement la main, vi
alter, c'est
ssa un
e l'expé
e à Miami. Mais le patron a fermé bo
a un regard
est b
n, confir
urnait déjà à plein régime. Avoir une paire de
Bienvenue che
icien ouvrit g
rieu
eux voir ce que tu v
a tête avec e
erez pas dé
en croisant
spère
*
e. Il laissa son regard glisser sur les voitures alignées sous les néons, sur l'enseigne qui porta
ait r
vitrée de la concession et s'étira en regardant la rue, un léger sourire sur les lèvres. Walter Auto commençait à se faire un nom en vil
rée. Le soleil déclinait à l'horizon, peignant le ciel de nuances orangées
ffaire qu
es, habillé d'un costume défraîchi, se tenait sur le trottoir, une cigarette ent
r ? demanda Joe en
igarette avant de souffler lente
qui peux t'
sourcil, crois
en qu
ça légèrement, b
comme si la ville t'appartenait. T'as du cran, j't
i ? Quo
n faire tomber la cendre, puis pla
... elle a dé
, un rire incrédule s'é
faire des affaires, pas pou
la tête, comme s'il s'a
ici, elles se font pas san
Joe, sans qu'il ne sac
s ce type, répondit-il
iqua l'homme avec
upira,
venu me faire p
a chaussure, puis lui lança un der
a qui ont essayé avant toi. Au
s talons et dispa
agité. Ce type était-il sérieux ou che
ns sa voiture. Il n'avait pas
*