Les roues du destin
e tout était en ordre avant de rentrer chez lui. Ma
régnait dan
t sourd rete
se f
t, cette fois
la porte d'entrée et
qu'il l
encapuchonnées qui s'agitaient entre
plosion bri
es airs alors qu'un des véhicul
ta vers sa voiture, ch
le 911 en
cession ! Ils détru
lle est en ro
t que ce sera
t, cherchant à distin
se tourna
air de
uit s
ta sous un coup de
e les hommes s'éparpillaient, fini
étaient arrivés, ils d
court, entouré de voitu
nt en guerre.Joe n'av
ine figure. Trois voitures détruites, les vitres du showroom brisées, des tags obscènes sur les murs. Un message
Ils pensaient quoi, qu'il allait se rendre ? Qu'il allait baisser le
main. Il observa les dégâts, puis
évisible, mu
nça un reg
e que tu v
onné une semaine, et il va faire en sorte
ain dans ses ch
de me lais
ssa un s
ve un moyen
Que pouvait-il faire ? Il a
*
ent-là qu'il r
lait le rencontrer. Il avait entendu parler de ses ma
n café huppé du centre-ville. Il avait besoin de toute aide possible
rgas. Un homme d'une cinquantaine d'années, costume impeccable,
Joe et lui serra la main
ravi de vous
de lui, posant les c
iez pouvoi
s sou
egrettable... Vous êtes un homme ambitieux,
a sur se
courant pour ce
refuse de jouer selon les règles de Shwen
ra les
quoi en échange
ntre son siège, cr
ur remettre votre concession à flot. En échange, vous acc
larme retentir d
ervis
un sourire
'affaires, comme vous. Je veux juste voir vo
it immédi
vaillez po
'élargit, mais son reg
us avons des in
ssa, les mus
que je rentre
ussissiez sans... com
a quelques
il se
ous faire
Il prit une gorgée de
e intelligent. Vous savez ce qui arrive à c
et quitta le café en
chose très claire : **il
*
ion, Joe mit immédiate
rise le garage, dit-
? demanda Danny, tou
rrières, alarmes. Tout ce qu'
va d'un sig
ça suffi
e grande in
trouvera au
de se lais
iposter.La nuit était tombée depuis longtemps lor
vant de partir. Mais ce soir, il avait quitté la concession plus tôt, fatigué après
disant de se reposer, sans se douter que ce ser
d'abord que c'était Mark qui l'appelait pour lui
voix qu'il entendit
soir,
le long de son échine. Il
n Shw
son estomac
-ce que
ire se fit
e voulais juste m'assurer que
a les mâ
l mes
sourd, étouffé, suivi d'
ix de
cœur exploser d
tain
précisa Julian d'un ton détend
de son bureau comme s'
ui fais d
suis pas un monstre. Je veux juste
tant ressenti l'envie
ent un sale
omme s'il trouvait la s
sser : demain matin, tu vas annoncer que tu as pris une sage décision. Tu va
la langue ju
i je r
s d'arrêt, puis répon
mi disparaît.
l avait envie de hurler, de tout casser, m
est
instant. Mais si tu fais ce que je te de
entant de calmer la rage et la peu
D'ac
tu étais un ho
ligne
phone toujours à l'oreille, comme s'i
a son portable sur le b
lait
ment pour
une option. Mais en cet instant précis, les souvenirs de Mark, effondré et menacé, le hantaient. Le regard de son ami, figé de peur, déchiré entre la souffrance e
n respirait le compromis, la soumission. Joe était assis à son bureau, les mains crispées autour du stylo, les yeux fixant le contrat qui reposait dev
sa silhouette imposante coupant l'espace. Il s
il d'une voix qui feignait la douceur, mai
'à en blanchir les articulations. Il savait que ce qu'il faisait allait marquer un tournant. Il n'y
s sur sa poitrine. Il attendait, avec la patience d'un prédateur
tu sais. C'est juste une question
s yeux, le sourire narquois qui se dessinait sur ses lèvres. Il savait que cet homme se nou
e une chose, Julian. Un jou
légèrement en avant, comme s'il se
s bientôt comprendre que tout