Les roues du destin
résentait toute son histoire, un héritage que son père lui avait laissé, une fierté familiale. Pourtant, aujourd'hui, il s'apprêtait à l
tes qui tourbillonnaient avant de retomber lourdement sur le sol humide. Il inspira pr
ûr de to
nfoncées dans les poches de son manteau usé. Il le regardait avec cette lueur d'inquiétude qui lui était
onton. Il faut q
tête, visible
te rends compte de ce que tu fais ? Une f
sai
ait pas qu'une bâtisse de pierres et de bois, c'était l'histoire de sa famille, un refuge où il avait grandi, un lieu rempli de
ontinua Joe. Il savait que je voulais autre chose. Une
ce manoir va suffire po
argent de la vente, j'aurai
he. Il l'alluma sans un mot, tirant longuement dessus ava
i ça f
ui. Son oncle avait toujours été sceptique, i
rera pas. J
un petit
qu'à ce que la réalité lui met
l était du genre à s'accrocher au passé, à préférer la stabilité même dans la médio
e s'engagea dans l'allée, roulant lentement jusqu'à eux.
sourire professionnel accroché aux lèvres
id Lemoine, l'agent immobilier
essayant de masquer la tensi
chan
'intérieur avec son notaire. Nous pouvons pr
a chaque détail dans sa mémoire : les volets légèrement écaillés, la porte en bois massif
ent avant de jeter s
ne chance de te
rit tri
C'est mainten
alons et entra
*
tout ce qui avait été la vie de Joe jusqu'à maintenant ne lui appartenait plus. L'acheteur était ravi. Il
t de vide. Il avait désormais l'argent nécessaire pour réali
t à l'extérieur
lor
tendit u
est
un instant avan
espère que
in sur l'épaule
Même si tu crois pas en mon
un petit sourire a
pas pris la meilleure décision, mais a
issa un
de la Floride. Un simple sac de voyage à ses pieds, un bille
tale, et ce changement brutal le fit cligner des yeux sous le soleil éclatant. Autour de lui, la ville grouillait d'activité : des voitures filaient à tout
r le trottoir, observant les immeubles modernes qui se dressa
uffeur, un homme au teint hâlé et aux
une course,
seconde, puis
z-moi à un mote
un sourcil avant de
veau en vi
rit mal
oit tant
vais t'emmener quelque part
va les rues animées défiler sous ses yeux. Cette ville était différente de tout
? demanda le chauffeur en jetant
avant de
uveau d
tête, comme s'il com
ça. Mais fais gaffe, mon gars. Ici, on pe
mais il n'y prêta pas attention. Il était venu
*
ça à arpenter la ville. Il avait une mission : trouver un endroit où établir sa concession automobile. I
ouer à l'angle d'une rue passante. L'endroit était un ancien garage abandonné, mais il était b
OUER - Contactez M. Rodriguez"** et c
répondit après qu
drig
ppelle pour le local
essé ? Vous pouvez pa
is déjà
résonna dans
J'aime ça.
*
al. Un homme d'une cinquantaine d'années en sortit, portant une chemise bl
Walt
serrant la main que
qui gère cet endroit. Alors,
omobile. Vente et lo
un sourcil, visib
ez les moyens de faire tou
vente du manoir de sa poc
ce qu'i
chapper un sifflem
z, je vous f
imaginer où il placerait les voitures, où il aménagerait un bureau, et c
commenta Rodriguez. Mais l'emplacemen
tement ce qu
instant, comme s'il pes
rce ici, c'est pas juste une question d'argent. Il faut s
ça les s
lle fonctionne
, mais il n'avai
erras
ar là, mais il n'avait pas le temps de s'attarder sur
ndroit, dit-il
z éclata
le, gamin. Passo
*