Le milliardaire possessif
es mains invisibles qui tissaient un avenir auquel elle tentait de résister. La demeure des Silva, imposante et luxueuse, se dressait devant elle comme un rappel cruel de sa c
tylo doré, et sa liberté s'était évaporée. Léa aurait voulu crier, supplier, mais elle savait que cela ne cha
x affaires de Rafael. Le champagne coulait à flots, les accords financiers se scellaient dans des éclats de rire feutrés. Et au cœur de c
nce. Ses yeux sombres s'étaient posés sur elle dès son entrée, la fixant avec cette intensité qui ne laissait aucun doute sur la suite des événements. Léa n'avait j
des obligations invisibles. Son père lui avait assuré que c'était pour son bien, que Rafael prendrait soin d
de Rafael derrière elle sans même avoir besoin de se retourner. Il n'avait pas besoin de la toucher pour qu'elle sente son emprise. Il n'avait pas
pas une priso
du manoir. L'air semblait plus dense ici, comme si les murs eux-mêmes murmuraient les secrets qu'ils renfermaient. Elle sa
siennes. Pourtant, elle avançait, portée par une force qu'elle ne comprenait pas encore. Peut-être était-ce la curiosité, peut-êt
rt inestimables. Rien n'était laissé au hasard. Tout ici témoignait de l'exigence et du perfectionnisme de Rafael. Il
au immense, où chaque détail témoignait de l'obsession de Rafael pour le contrôle. De grandes étagères en bois massif croulaient sous
vait voir Rio de Janeiro s'étendre à perte de vue, ses lumières scintillant dans la nuit. La
ches quel
de Rafael br
contre l'encadrement de la porte, les bras croi
ns ciller. Elle ne voulait
chose que des visages inconnus
èvres de Rafael. Il s'approcha lentemen
i la tienne maintenant.
rra les
is pas ici
a tête, l'observant comme s
tu es ici. Et ça, pers
vait jamais la voix, ne menaçait pas ouvertement, mais
, la laissant seule face à l'immensité
ira prof
it pas enc
en
détail semblait avoir été soigneusement pensé pour rappeler qu'elle appartenait désormais à un monde qui n'était pas le sien. Le perso
l, cherché une faille dans cette prison dorée. Mais à chaque tentative, un détail la ramenait à la réalité : Rafael savait. Il n'av
dait les marches du grand esca
s levé
ume sombre, une montre en or dépassant légèrement d
ndit-elle en descendant prud
re discret et calculé qui l'exas
minutes d'ici. Je peux dem
s bras, le déf
urrais par
eux sombres l'observèrent, analysèrent
souhaites v
un sourcil
isserais simp
légèremen
? Tu reviendrai
ent. Il parlait comme s'il savait déjà ce qu'elle ferai
s sûr
répondit-i
efusant de se laisser per
oulait pa
lus si partir était r