Le milliardaire possessif
n, elle se réveillait dans une chambre trop vaste, trop luxueuse, où chaque objet semblait avoir été disposé avec une précision mathématique. Chaqu
le. Mais Rafael avait prévu chaque possibilité. Il ne l'empêchait pas de circuler librement, mais il n'en avait pas besoin. Des regards discrets, des p
istance silencieuse
lle surprit une conversation dans le grand salon. Rafael parlait d'u
avant la fin de la semaine.
puis une voix plus
elques complications, mai
portance de cette transaction. J
renait pas entièrement de quoi il était question, mais elle percevait l
etourna et son regard croisa le sien. L'ombre d'un sourire e
, app
éguisé en
ent, sentant l'atten
e, constata-t-i
tint son
u milieu du salon. C'e
légèrement l
es que cela
perceptiblemen
erne, non ? Après tout, je suis ce
voir une lueur d'intérêt passer dans le regard de Raf
as de cela. Viens,
son estoma
laissait p
-
ir dominaient, donnant une impression de puissance froide. Il s'installa
larifier certai
prête à encaisser ce
Ce n'est pas un jeu, ni une phase temporaire. Que tu
rra les
ne suis pas un contr
ent, puis répondit
ien plus
n de doux. C'était une simple vérité,
, exactement ? deman
Que tu arrêtes de fuir une
entant de contenir la colère
i je r
urire fugace apparut s
as les choses pl
Il voulait son acceptation consciente, une r
au fond d'elle, qu
l Silva ne p
éa arpentait les couloirs du manoir, observant le personnel s'affairer avec une efficacité discrète, répondant à des ordres silencieux qu'elle ne pe
du moins pas ouvertement, mais elle savait qu'aucun de ses mouvements ne lui échappait. Lorsqu'elle croisait son regard, elle lisait cette cer
de ne pas
tion luxuriante formait un écrin de verdure autour de la propriété, dissimulant le manoir derrière une impression de sér
au. Elle se sentait prisonnière, mais une part d'elle-même devait admettre que cette cag
et trouva Rafael, toujours impeccable dans un costume sombre m
as cet endroit
is répondit d'u
Mais ça ne m'a
entement, comme s'il jaugea
Léa ? Que je te laisse
n regard, refus
comprennes que je n
rceptible effle
rtant, t
la faisait frissonner. Il ne haussait jamais le ton, ne faisait jamais de menaces explicites, m
e regard, repre
i un moyen, m
mais elle sentait son regard peser sur ell
-
issaient, des conversations se faisaient plus discrètes. Rafael semblait plus occupé, ses appels téléphoniques
ramait derrière ces murs. Mais tout ce qu'elle obtenait, c'était des rega
aire qui dépassait de loin les simples
urprit une conversation dans le grand salon. Cachée derrière une
maintenant, nous devons être sûrs que t
lui répondit, po
rtitude. Soit nous maîtrisons la si
e pesant
ignorait de quoi ils parlaient exactement
t, prenant garde à n
ait trouver un moyen de se libérer avant d'être entraînée encor