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Le milliardaire possessif

Chapitre 4 04

Nombre de mots : 2231    |    Mis à jour : 24/02/2025

uis qu'elle avait surpris cette conversation dans le salon, son esprit ne cessait d'échafauder des hypothèses. Rafael n'était pas un simple homme d'affaires, elle en avait la certitude. S

l du manoir était d'une discrétion absolue, obéissant à des règles strictes qu'elle ne pouvait contourner. Les visages qu'elle voyait étaient toujours les mêmes, à quelques exce

les, les couloirs illuminés où l'opulence s'affichait sans retenue. Mais il y avait des endroits qu'elle n'avait jamais eu l'occas

trouver. Son souffle était court, son cœur battant plus vite à chaque pas. Elle ne savait pas exactemen

froide, plus austère. Les couloirs étaient moins décorés, les murs presque nus. Elle avança lentement, pos

up d'œil à l'intérieur quand u

and tu tenterais que

sé au mur, les bras croisés sur son torse. Il était vêtu d'une chemise sombre,

emanda-t-elle, tentant

ces sourires qui ne révélaie

eiller. Je sais exactement comm

s, frustrée par son

llais chercher à comprend

distance entre eux jusqu'à ce qu'elle

erais. Mais tu ne trouve

rma doucement la porte qu

? Si tu veux vraiment que je res

sa dans ses

n'es pas encore p

ourir l'échine. Ce n'était pas

perceptible mais suffisant pour lui faire comprend

e, Léa. Tu as déjà vu ass

age. Mais quelque chose dans son regard lui fit com

urna les talons et r

lle le

s secrets dan

irait par l

l semblait savamment orchestré pour l'empêcher de fuir. Elle n'avait plus la notion du temps, seuleme

du silence oppressant qui enveloppait ses pas. Les domestiques l'évitaient, répondant à ses questions avec des sourires polis mais vides de sens. Quant à Rafael, il

qu'il signait d'un geste assuré. Il était ancré dans la façon dont il influençait son ento

guettant une faille dans cette prison dorée. Mais rien n'était laissé au hasard. Même lorsqu'elle se promenait dans l

s du manoir. Elle connaissait désormais les horaires du personnel, les rondes des gardes postés aux entrées. El

battant à un rythme effréné, chaque bruit amplifiant sa tension. Son objectif était simple : atteindre l

pas le temps d'a

ombre, bloquant son passage

tu comprendrais

fa

ait indéniable. Il se tenait là, impassible, com

elle, une frustration brûlante

anda-t-elle, la voix t

mettre une erreur, co

rra les

nière, c'est ça ton

aversa ses

e prison, Léa. C'

ta d'un r

quoi, exa

, réduisant la distance entre

rs dont tu n'as mê

t de céder à l'intimidation sile

moi parti

Puis, lentement, il esquiss

'es pa

lus de refermer une porte sur elle. Une porte invisible, m

tration l'envahir, mais auss

ue chose que Raf

soit, elle deva

ciel, encore voilé de nuages bas, peignait le domaine des Silva d'une teinte sombre et oppressante. Léa se réveilla avec cette m

r passé ici ne faisait que renforcer son impression d'être une étrangère dans un monde qui ne lui appartenait pas. P

aissant derrière lui cette absence oppressante qui pesait plus lourd que sa présence. Léa savait qu'il reviendrait, toujours

mbre et descendit l'immense escalier de marbre qui menait au rez-de-chaussée. Le manoir é

e robe beige parfaitement ajustée, ses longs cheveux bruns encadraient un visage aux traits raffinés.

femme tourna lenteme

devez ê

urance qui lui donna immédiatement l'impres

ous êt

sourire avant de poser sa t

a. Une vieille

mais entendu parler de cette femme, mais il y avait que

e en s'efforçant de gard

ard perçant détaillant Léa comm

qu'il utilisera

tension sourd

oi êtes-

la manche de sa robe avec un

me qui était la femme que Ra

de défi dans les yeux de Bianca, une ombre de

anda-t-elle en c

ce sourire n'avait

férente de ce q

son regard

vous a déjà dit que je n'a

s Rafael obtient to

inte glacée lui t

lez bien le

réduisant la distance en

e vous ne

e lourd s

aire à une amie de Rafael. Cette femme était bien p

r lequel, avant qu'i

ont elle ne pouvait se débarrasser. Il y avait eu dans cette rencontre quelque chose de trop maîtrisé, trop calculé

nce de Bianca dans la vie de Rafael. Une ancienne amante ? Une associée ? Une menace déguisée en allié

edressa sur le fauteuil où elle s'était laissée tomber, l'ombre des doutes pesant toujours sur

as feutrés sur les tapis épais. L'atmosphère avait quelque chose d'oppres

bureau de Rafael. C'était la deuxième fois qu'elle s'y ave

porte et pénétr

de tout élément personnel. Mais cette fois-ci, quelque chose attira immédiatement son regard.

ra du bout des doigts le papier épais. Un nom était

Léa rata un

mme, exposée ainsi sur son bureau ? Était-ce une coïncid

line pulser dans ses veines. Avant qu'elle ne puisse prend

ches quel

nna dans la pièce comme une

trable. Il était appuyé contre l'encadrement de la porte, l

enveloppe ent

ieds sur un terrain plus dange

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