L'éveil d'une passion interdite
: L'Écho du
demeurait, oppressante, persistante. Élodie resta figée un moment, les mains crispées contre ses paumes, comme s
out ce qui venait de se passer, comme s'il savait que ce n'était qu'un autre test, un autre passage obligé. Mais pour Élodie, la pièce était de
nce. Par cette attente interminable. Alors, elle décida de briser ce cercle, de rompre c
emanda Léonard
evait répondre. C'était une autre manière de la pousser à réfléchir. Elle n'avait pas de réponse, pas de destinat
ra-t-elle, plus pour e
ixant sur elle, perçant dans son âme comme un
lusion. Il n'y a nulle part où fuir, pas maintenant. Et si tu tentes de sortir
point : l'extérieur n'était pas une échappatoire. Mais elle ne pouvait pas lui
-elle, défiant du regard celui qui se tenait entre ell
de ses mots, puis un sourire froid se dessina sur se
éjà arrivée là où tu devais être. Tout ce qui reste, c'est d'accepter ta place, d'accepte
d'Élodie se tordait sous l'emprise de ses mots. Chaque syllabe le conduisai
se trouva enfin à une distance trop proche pour qu'elle puisse
ce qui t'a façonnée... c'était une préparation. Une mise en scène. Tu n'es pas ici par hasard. Tu fais partie d'
intensité qui la laissa sans voix. Une préparation ? Une mise en scène ? De quoi parlait
avait plus de place pour la confusion. Plus de place pour l'ignorance. Elle devait savoir. Savoir à quel point
voix tremblante mais résolue. Pourquoi moi, Léonard ?
vidente, comme si tout cela n'était qu'un élément d'un pu
histoire. Peu importe combien tu cherches à te dérober. La question n'est pas de savoir si tu veux ou
une vérité à laquelle elle pouvait simplement accéder. Ce n'était pas une vérité qu'elle pouvait fuir. Et c'était précisémen
elle ne pourrai
: Le Pact
pe de plomb. Il y avait une vérité qu'elle devait affronter, mais chaque fibre de son être résistait à l'idée d'accepter ce qu'il insinuait. Elle se trouvait
isage. Il savait qu'il avait semé la graine du doute en elle, et il se délectait de ce moment. La confusion qui habitait Élodie n'ét
ses pages usées par le temps, son dos marqué de symboles étranges qu'elle n'avait jamais vus. Était-ce cela qu'il attendait d'elle ? Qu'e
basse, presque un murmure. Tu veux que je le li
proie avant de frapper. Lorsqu'elle toucha le cuir du livre, une étrange chaleur la traversa, un frisson q
mots. Il est le gardien de ce que tu cherches à fuir. Il détient la
ait de fuir, de laisser ce livre là où il était, de sortir de cette pièce, de cette vie. Ma
x. Ils étaient familiers et étrangers à la fois, comme si une partie d'elle reconnaissait ce qu'elle voyait, mais qu'une autre, plus rationnelle, rejetait cet
le comme une promesse cachée. Liaison. Ce mot était gravé en lettres fines, presque délicates, mais son poids était indesc
anda-t-elle, sa voix trahissant l'i
e texte. Il se pencha légèrement, observant le mot d'un regard
n lien invisible, qui traverse les âges, les vies. C'est ce que tu cherches, Élo
e, presque irréelle, mais si intense qu'elle faillit perdre l'équilibre. Elle se voyait, mais elle ne se reconnaissait pas. Elle était entourée de silhouettes, de visa
s la
mais les mots résonnaient encore en elle. Elle était la clé. La clé de quoi ?
it de découvrir. Il savait que tout était une question de patience, qu'il n'avait qu'à l
a porte, d'un geste de la main
ue tu es prête à faire maintenant déterminera ce que tu deviendras demain. Mais sache une chose : i
evant elle, sombre et incertain, mais elle savait au fond d'elle que c'était le seul qu'elle pouvait emprunter