L'éveil d'une passion interdite
: La Vie Si
ent. Elle avait grandi dans une maison imposante, mais elle préférait les petites choses de la vie. Les moments de calme, la lecture, la photographie, les balades sans but précis à travers le
blants... tout cela l'épuisait. Son indépendance lui permettait de vivre sans se soucier des attentes des autres. Elle av
ceux qu'ils jugeaient dignes de son statut. Mais elle refusait catégoriquement. Son père lui offrait toujours des opportunités professionnelles, des investissements qui garantiraient so
ication qu'elle connaissait. Ses amis l'avaient conviée à une soirée entre eux, rien de plus. Un
envahir ses sens. L'alcool, léger au départ, avait fini par l'enivrer. Elle se sentait détachée, comme si elle flottait au-dessus de la s
qu'elle avait prévu d'aller, mais son instinct la poussa à avancer. Et là, dans l'ombre, se trouvait une porte. La porte d'un hôtel particulier. Par erreur, elle entra dans
, la lumière tamisée, et tout semblait ordonné, contrôlé. Elle n'avait aucune idée de ce qu'elle faisait là, mais il était déjà trop tard pour faire demi-
impitoyable, et d'une beauté presque irréelle. Il n'avait pas réagi immédiatement à son intrusion, mais s
ipser discrètement, mais quelque chose la retenait. Peut-être la chaleur de la pièce, ou cette étrange attraction qu'elle ne pouvait
a-t-il d'une voix calme, presque
ssonner, mais Élodie n'eut d
'allais, répondit-elle, son e
éger sourire se dessina sur ses lèvres. Un sourire qui n'
, dit-il en la fixant inte
criait de s'éloigner, mais une étrange attir
un accident, un soir qui aurait dû n'être qu'une nuit
2 : L'Omb
pouvait déchiffrer chaque pensée qui traversait son esprit. Il y avait quelque chose d'irrésistible dans sa présence, un pouvoir silencieux qui semblait se
ue ni l'un ni l'autre ne souhaitait rompre. Élodie inspira profondément, cherchant à se ressaisir, à chasser l'
e partir, murmura-t-elle, s
lèvres légèrement pincées, comme s'il réfléchissait à ses mots. Lorsqu'il parla enfin, sa voix ne portait
die, dit-il d'une voix basse.
le n'avait jamais croisé cet homme auparavant, et pourtant, il semblait la connaître, comme si son arrivée dans cett
ots sortant plus rapidement qu'elle ne l'aurai
impassible. Un léger sourire effleura ses lèvres,
e dans cette ville, un verre de trop dans le corps et une décision irréflé
ait-il possible qu'il sache quelque chose qu'elle ignorait ? Peut-être qu'il la suivait depuis un moment, peut-être qu'il avait remarqué son malaise dans le café. Mais no
ses yeux cherchant un moyen de s'échapper. J
s'emballer sous l'effet de l'anxiété. Il avait quelque chose dans son regard, quelque chose qui la transperçait comme une lame. Un sentiment étrange, en
e. Ce n'est pas ton rôle. Mais tu es ici pour u
hose la retenait. Comme une force invisible, une attirance fatale, qui la liait à cet homme qu'elle ne comprenait pas,
ses yeux luisant dans la faible lumière qui baignait la pièce. Il n'y avait plus de distance entre eux, plus de frontière.
? demanda-t-il, sa voix a
sphère feutrée de la pièce, tout cela la poussait dans un état de confusion qu'elle n'arrivait plus à cont
-il d'un ton autoritai
Chaque pas la rapprochait de l'inconnu, de l'inattendu. Elle n'avait aucune idée de ce qu'il se passait,
lle. Il lui fit signe de s'asseoir, mais elle resta debout, comme figée. Il n'y avait plus de retour en arrière, plus de possibilité d
lle, ses yeux pétillant
uoi tu es ici, Élodie, mais p
aque mouvement était une prise de risque. Elle n'avait aucune idée de ce qui l'attendait, mais une chose était sûre : elle vena