Les jumelles du milliardaire
refuge sous ha
pourquoi elle était là, pourquoi elle s'accrochait à cette fuite éperdue. La lumière tamisée du hall d'entrée projetait des ombres étranges sur les
silencieuse. Liana savait qu'il ne laissait rien au hasard, que chaque meuble, chaque recoin était calcu
sentir sa nervosité, même s'il s'efforçait de ne rien laisser paraître. Il connaissait Caleb mieux qu'elle. Il savait ce
nnocent. Ses mains étaient dans les poches de son pantalon sombre, mais Liana savait
ux anciens, probablement des œuvres volées ou obtenues par des moyens que personne n'o
fauteuils en cuir étaient disposés autour, et derrière le bureau, une large baie vitrée donnait sur l
issa sur Liana, mais cette fois, il ne s'attarda pas sur elle. Il fixa plu
garder son visage impassible, mais elle savait que Caleb était un prédateur. Il p
son bureau. D'un mouvement fluide, il sortit un cigare d'un coffret posé sur la surf
n, dit-il enfin, sa voix
Elle savait que ce n'
chez moi, après tout ce temps.
instant sur Daniel ava
n'est pas une simple
mprise sur les jumeaux. Elle ne voulait
ourner son bureau. Il ouvrit un tiroir et en sortit une bouteille de
es là maintenant. Ce qui m'intéresse, c'est de sav
r l'échine. Ce n'était pas une simpl
aute surveillance. Et Caleb n'était pas un homme
0 : Le pri
e était munie de vitres blindées, chaque porte était équipée d'un verrou électronique. Des caméras de s
ais les circonstances l'avaient forcée à rechercher l'abri de ce
t immense aux draps impeccables, un éclairage tamisé qui diffusait une atmosphère feutrée. On aurait pu c
près du lit. Liana, elle, était incapable de trouver le sommeil. Trop de q
rieur du domaine baignait dans une lumière artificielle. Deux hommes patrouillaient l
le
e de profondément enfoui. Liana l'observa un instant. Malgré les années, il n'avait rien perdu de so
lle savait que la protection de Caleb avait un p
-
anger. Il était déjà attablé, une tasse de café fuman
dit-il en relevan
soin de demander
ait jamais quelq
nt sur le parquet alors qu'elle remontait le couloir menant au bureau de Caleb. Deux ho
is, il ne jouait pas avec un cigare ni avec une bouteille de whisky.
rdonna-t-il sans
resta
ton ferme. Dis-moi simplem
t le dossier devant lu
si impatiente,
vant de poser sur ell
eine nuit, avec deux enfants dont tu refuses encore de me parler.
erra le
cier. Je veux juste du temps.
sema
happer un rire
e tu pourras juste partir
ard s'a
mme puissant. Un homme qui
it son cœu
t pas ton
ement, s'appuyant
u mon problème à l'instant
on regard brûlant d'une
e peux t'offrir un sanctuaire
s, mais ils la frappèrent
veux ? demanda-t-el
, un sourire qui ne laiss
savoir l
lutit dif
lle v
ches. Qui sont ce
e s'étira
rriverait. Mais était-elle
Caleb était-il p