Les jumelles du milliardaire
sentielles, des vêtements pour les enfants, quelques documents d'identité falsifiés, et un sac à dos rempli de tout ce qui pourrait leur être utile pour la route. Ca
ici augmentait le risque d'être découverts, mais
ent le seul contraste avec l'anxiété qui rongeait l'air. Liana les observait avec tendresse, une boule au ventre. Leur insouciance
taient prêts à partir, leurs affaires entassées dans la voiture. Liana s'assura une dernière fois que tout était en ordre avant de monter, ses yeux jetant un dernier regard à
de et oppressante. Liana était assise à l'arrière, les enfants endormis, leurs petites têtes reposant contre les sièges. Elle se sentait déconnectée de tout, comme si elle n'était
des pneus sur le bitume étant le seul son qui brisait le silence lourd de la nuit. Caleb n'avait pas encore parlé de leur destination, et Liana n'osait pas lui poser la question. Elle
veux, une douce caresse protectrice. Ils étaient tout ce qu'il lui restait, tout ce qui comptait. Et tant qu'ils seraient à ses
r perler sur son front, ses doigts crispés sur le tissu de son manteau. Ils n'étaient pas encore hors de danger, loin de là. Ils devaient se rendre dans un autre endroit, un lieu
brisant le silence. Une heure de route ma
"abri" résonnait dans son esprit comme une promesse qu'elle n'était pas sûre de pouvoir croire. Où était cet abr
it de plus en plus déconnectée. Les paysages défilaient sous leurs yeux, inconnus et inhospitaliers. Elle
prêt à céder. Liana ferma les yeux, cherchant à apaiser son esprit agité. Mais les pensées ne cessaient de surgir, tourbi
ur et se tourna vers Liana, son regard grave. Il n'eut pas besoin de dire un
jamais de répit. Et que, peut-être, la prochaine étape de leur fuite
prit dans ses bras, leur murmurant des mots réconfortants, mais au fond d'elle, une vo
ieux. Leur nouveau refuge n'était peut-être pas aussi
'obscurité avec une vigilance accrue. Liana resta un moment dans le véhicule, les enfants encore dans ses bras, son regard perdu dans la lueur des phares qui se fanaient. Il y avait quel
doucement à travers les arbres, mais à chaque souffle, c'était comme si le monde devenait plus petit, plus confiné. Ch
ain sur la poignée de la porte. Liana s'approcha, son cœur battant la c
, presque rassurante, mais Liana ne put s'empêcher
e, à peine plus grande qu'un chalet de campagne, mais elle était solide, presque ancrée dans le sol comme si elle avait été construite pour résister aux tempêtes. Liana entra, les
ue mouvement, chaque expression. Liana se força à déglutir, la tension montant da
endroit où ils nous chercheront
'avait jamais été du genre à donner des promesses, encore moins dans un monde où
Mais ici, on a une chance. Ce n'est pas une gr
pourrait le faire à nouveau. Elle avait vécu dans cette peur pendant des années. Et cette fois, avec les enfants, cela n'allait
e savait qu'ils pourraient l'aider. Mais la réalité de ce qu'elle faisait commençait à la submerger. Elle n'avait jamais voulu en arriver là, mais une fois encore, la vie lui av
nait près de la fenêtre, regardant dehors avec une
is ? demanda-t-elle,
vers elle, ses yeux s
rable que l'on reste vigilant. Une fois
, essayant de se concentrer sur le sommeil des enfants. Ils avaient besoin de repos, et elle aussi. Mai
n". Pas de salut. Pas d
ais elle ne pouvait pas faire marche arrière. Pas après tout ce qu'ils avaient traversé. Pas après avoir laissé derr
étaient ici pour un moment, mais à chaque instant, un autre danger pouvait surgir. La protection qu'elle espérait n'était qu'une illusion
'ils n'étaient pas à l'abri. Les ombres du passé, toujours prêt