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Les jumelles du milliardaire

Chapitre 9 09

Nombre de mots : 1728    |    Mis à jour : 20/02/2025

siblement. Elle se demanda combien de temps elle pourrait les garder à l'abri. Combien de temps avant que le monde qu'elle avait fuie ne vienne à

des images fugaces : Adrian, sa famille, sa fuite, la vie qu'elle avait laissée derrière elle... Puis une voix intérieure lui ordonna de cesser de penser à tout cela. Ce n'était plus sa vie. C

rieur. Parfois, Liana se demandait ce qu'il pensait vraiment, ce qu'il ressentait dans ces moments-là. Il n'était pas du genre à exprimer ses émo

r de ce plan ? mu

ses yeux se posant sur elle, a

on avait une chance de tout recommencer. Si on veut les p

aque action désormais avait des conséquences irréversibles. Mais cela ne faisait pas disparaître

se promit de ne jamais les laisser tomber, peu importe ce qu'il en coûterait. Elle avait déjà perdu trop de choses,

ilèrent, une masse sombre qui les engloutissait à chaque virage. La route semblait interminable, comme si le monde entier avait disparu et que, dans ce vide, seul leur véhicule comp

emières lueurs de l'aube se pointaient, mais elles n'apportaient aucune forme de réconfort. Liana

sortit rapidement. Liana attendit quelques secondes avant de prendre la décision de le suivre. Elle jeta un dernier regard sur les enfants. Ils é

a forêt, et bien qu'il semblait un peu délabré, c'était le seul endroit qui leur permettait de souffler, ne se

nous laisser tranquilles longtemps, d

an arrivait ici. La fuite n'était pas la solution à long terme. Chaque seconde qu'ils passaient

i avait toujours été sa force. Ils allaient survivre, et elle allait tout f

Quand Adrian Blackwell découvrirait qu'elle n'était plus Elena Caldwell, mais Liana Mercer, la

er sous leur poids. Mais ils n'avaie

que respiration semblait être mesurée. Liana passait ses journées à organiser les lieux, vérifiant les fenêtres et les portes, toujours sur le qui-vive. Elle n'avait pas encore accepté l'idée d

de la forêt, les oiseaux au loin, le vent qui agitait les arbres. Pourtant, au fond d'elle, elle savait que ce n'était qu'u

evenu soudainement trop sombre pour Liana. Mais chaque sourire, chaque éclat de joie, la ramenait à la réalité de la situation. Elle devait les proté

Parfois, Liana l'entendait se lever la nuit, ses pas discrets dans la maison, comme s'il ne pouvait jamais se détendre. Il était trop calme, trop calculateur. Elle savait qu'il cachait quelque ch

t elle devait lui accorder sa confiance. Mais parfois, elle ne pouvait s'empêcher de se demander : qu'est-ce qu'il cacherait si jamais elle décidait de le confronter ? Et surtout, pourquoi avait-il accepté de l'aider à fuir, alors qu'il n'avait pas g

ants, Caleb entra dans la cuisine, son visage plus sombre que d'

-il enfin, brisant le sile

s grand se jouait, quelque chose qu'il n'était pas prêt à lui révéler. Elle ne savait p

ses mains tremblant légèrement alors qu'

avant de faire une confession. Il s'approcha de la table et s'assit, ses

este ici trop longtemps, ils nous retro

it par arriver, mais l'entendre de sa bouche la secoua tout de même. Fuir à nouveau. Repartir à

être en sécurité ? s'écria-t-elle,

expression dur

ette région, quitter tout ce qu'on connaît. Cela va être risqué, m

la vérité était qu'ils étaient déjà en danger ici. Si Adrian et ses hommes les retrouvaient dans ce chal

haque décision. Ils n'avaient plus le temps. Ils devaient pa

lme que ce qu'elle ressentait à l'intérieur. Nous

uite, mais cela n'enlevait rien à la peur qui grandissait en elle. Un autre lieu. Une autre cachette.

errant les poings. Le combat pour l

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