L'Offrande de l'Alpha
e d'un
es couloirs étroits, ses pas feutrés sur le sol de pierre, l'esprit encore embrumé par les récentes épreuves. Ses pensées tourbillonnaient entre la douleur
tendant l'oreille. Le son de voix graves et conspiratrices se faufila à travers une porte entrouverte. L'om
le aperçut plusieurs guerriers du clan rassemblés dans une salle faiblement éclairée par une unique torche vacillante. Leurs visages étaient à peine visible
ait l'un d'eux, sa voix rauque se perd
mpte de quoi que ce soit, nous pourrions renverser l'ordre étab
seulement l'ordre de Kael, mais la stabilité même de leur monde. Les murmures révélaient des indices troublants : une alliance secrète entre certains guerriers et
isait vibrer son âme. La voix de l'un d'eux, plus assurée que les autres, prononça : « L'Alph
n elle des sensations contradictoires. Maintenant, cette conversation secrète la plaçait face à un dilemme déchirant. Devait-elle intervenir et l'avertir, ou rester à l'écart e
: « Une menace pèse sur l'Alpha lui-même. Il semble qu'un groupe d'
t à se prononcer. Son esprit, tiraillé entre la révolte intérieure qu'elle nourrissait contre son destin et une étrange empathie envers Kael, se bloquait. Un doute insidieux s'immisçait : devait-elle aider
t brusquement. Elle se glissa hors de sa cachette dans l'obscurité, le cœur battant, la tête pleine de questions et de doutes. Une seul
veillance, quelque chose dans l'air changeait. Elle aperçut, dans l'ombre d'un pilier, la silhouette imposante de Kael, les yeux d'un gris implacable
uloir alors qu'il s'avançait vers elle. Elle se figea, le cœur battant, la gorge nouée. Avait-il
udible, trahissant une nervosité qu'elle tentait
tous ses secrets, toutes ses hésitations. « Raconte-moi, Aria, que fais-tu errer dans ces couloir
ion secrète ? Devait-elle mentir, ou tenter de se justifier ? Son esprit se brouilla, mais avant qu'elle
t, Alpha, » balbutia-t-elle, tentant maladroiteme
e pesant qui s'était installé entre eux. Puis, d'un geste imperceptible, il se détourna
se, si ses yeux avaient capté l'ombre d'un secret qu'elle venait à peine de découvrir. L'écho de la conversation s
igilante, se surprenait à observer chaque mouvement, à écouter chaque murmure qui traversait les corridors som
s vacillaient sous l'assaut de la brise, Aria décida de retourner sur les lieux de la conversation. Cachée derrièr
x basse et empreinte d'une détermination sombre. « Dès que Kael s'endo
réparé tout ce qu'il fallait. Aria, si jamais nous avons besoin de ta p
née à la piéger, ou bien un indice de son importance dans ce plan machiavélique ? L'angoisse monta en elle, se mêlant à la colère et à la confusion. Elle
vait changé en elle, une étincelle de curiosité mêlée d'ambition qui la rendait dangereusement imprévisible. Lorsqu'elle se déplaçait dans les couloirs, il apparaissait presque c
t une main se poser sur son bras avec douceur mais fermeté. Elle se retourna brusq
» demanda-t-il, sa voix basse et chargée d'
ré, tentant de dissimuler la tremblante intensité de ses émotions. « Peut-êt
Aria, » insista-t-il, ses yeux scrutant les siens avec une intensité qui f
de cet homme, dont la présence oscillait entre la menace et une attirance énigmatique. Finalement, elle murmura : « Des guerriers parlent d'un complot. Ils prévoient d'agir co
ant en une expression de défi et de calcul. « Tu oses t'immiscer dans des affaires qui te dépassent, Aria
te, même si ma propre sécurité en dépend. » Un silence s'installa entre eux, lourd de non-dits et d'émotions refoulées. «
. « Tu comprends, n'est-ce pas, que dans ce monde, la force se mesure aussi à la capacité de protéger ce qui nous est précieux. » Son ton étai
la manipuler, ou bien s'il éprouvait réellement une sorte de souci pour sa sécurité dans un clan qui semblait s'effriter d
rmure presque intime : « Parce que tu es plus que ce que tu parais, Aria. Tu por
eloppée s'adoucir légèrement, remplacée par une chaleur inattendue. Mais l'ombre du complot, toujours présente, ne pouvait être balayée d'un si
n mélange de sévérité et de promesse. « Alors je te guiderai, » déclara-t-il d
dor, le cœur battant et l'esprit en proie à une multitude de questions. Elle se demandait désormais si elle devait intervenir dans ce complot, s'impliquer
mblait être là, à l'affût, observant ses moindres gestes, ses regards furtifs, comme s'il essayait de déchiffrer le mystère qu'elle représentait. Ses int
couvrir la vérité sur ce complot. Elle se glissa hors de sa cellule, déterminée à retrouver discrètement le lieu où elle avait entendu les
issa dans une petite salle, où la lueur d'une bougie tremblotante révélait à peine les contours d'un groupe de guerriers réunis en
'un d'eux, tandis qu'un autre ajoutait, « Aria pourra être util
l'ombre, mais aussi par le destin qui l'avait mêlée à cette intrigue. La menace qui pesait sur Kael prenait des allures de tempête immine
s. Elle se glissa contre le mur, cherchant à se fondre dans l'obscurité. La porte s'ouvrit doucement, et d
is ferme, « il semble que tu t'intére
éternité de tension. Kael s'arrêta à quelques pas d'elle, et dans le faible halo de la lumière vacillante, elle distingua la gravité de son re
conspirations, des murmures sur un complot visant à te renverser, Alpha. Ils parlent d'utiliser mon nom pour détourner
l'effet de la révélation. « Tu es sûre de ce que tu dis ?
ne pouvais pas rester silencieuse face à ce que j'ai entendu. Je
nce implacable. « Tu as pris un risque énorme en me révélant cela, Aria
la gravité dans sa mémoire. « Sache une chose, » ajouta-t-il d'un ton ferme, « je ne tolérerai aucune
ue. Le complot se dressait désormais comme un mur devant eux, et la confiance fragile qu'elle avait en Kael se trouvait mise à l'épreuve
r elle comme un faucon sur sa proie. Ses interventions, bien que discrètes, révélaient qu'il avait compris l'importance du potentiel qu'elle rec
à l'aise, la rappelant sans cesse la hiérarchie implacable du clan. De l'autre, elle percevait une lueur d'intérêt sincère, comme
ouvaient seuls dans une vaste salle d'entraînement. La lumière des torches faisait
e l'offrande que tu es censée être, Aria, » répondit-il lentement, chaque mot chargé de sens. « Je sens en toi un
t et la méfiance. « Tu crois vraiment que je peux changer quoi que ce
e tu es bien plus qu'une simple offrande, » répliqua-t-il, sa voix presque caressante
roie à des tempêtes intérieures, se demandant comment agir face à la menace qui pesait sur Kael et, par extension, sur l'équilibre fragile du cl
it que commencer. Les secrets découverts, les alliances en gestation et le regard vigilant de Kael étaient autant d'indices que le tem