L'Offrande de l'Alpha
L'Of
és brûlaient sous le frottement du fer. Le bandeau qui lui couvrait les yeux n'empêchait pas l'o
it dû être loin, cachée avec sa sœur, mais le destin en avait décidé autrement. E
e. Le cheval renâcla. Quelqu'un donna un coup d
escen
son bras et la tirer hors de la carriole. Ses pieds nus rencontrèrent la terre glacée.
ts fusèrent a
illé. Tu crois qu'elle surv
é qu'elle soit robuste.
ui que l'on craignait dans toutes les contrées. Celui qui régnai
de son échine. Une botte frappa dans son
Debo
se redressa lentement.
e les autres. Leurs visages étaient marqués de cicatrices, leurs yeux luisaient comme ceux des lo
ntre, il
a
uir et une tunique sombre qui laissait deviner un torse sculpté par la guerre. Ses longs cheveux noirs retombaient en mèches épaisses au
l la détailla lentement, comme on
'est pas
is chaque mot sonnait
chée à son foyer. Un mercenaire au regard
appée. Voilà ce qu'on
ce écrasait tout. Il n'avait pas besoin de hurler pour être entendu. Il était
êta deva
corps tremblait, même si son cœur battait tro
silence lourd, pesant, où chaque
l attrapa son menton et l'
es me défie
auque, une lame effleurant
taient scellées par la peur, mais
ha et fit un
u impo
rna vers
lle r
ise s'élevèrent, suiv
nda un des guerriers, un
e appartient aux Ombres, que ce
evint se pos
le m'appa
ces mots s'écraser sur
Préparez-la pour
l alors qu'on l'emmenait à travers les couloirs d'un châte
e humides. Une lampe à huile vacillait dans un co
derrière elle dans u
lle aurait dû pleurer, crier, supplier.
était
briser tout c
omptait pas le