L'héritier au trône
tension s'installe
eux-tu
égèrement en avant, autant que s
ic qui a tout orchestré ? Qu'il a
'abattit dan
regard à Mar
oi tu p
rit do
ndé comment Aldric a pu réunir assez d'hommes et d'or pour renvers
erra les
ntin
c. Un pion dans un jeu bien plus vaste. Quel
n frisson parco
Qu
la tête, savour
le dire... mais pou
evant lui, son regar
parles pas, tu mourra
l éclata
arcus. Mais toi... toi, tu n'as
gea un regar
as le tuer. Il
amais, répondit E
i que Roderic disait la vérité. Quelque chose d
et fixa l'anc
jusqu'à ce que tu
e fois, quelque chose dans son regar
, prince. Parfois, les traîtres se cache
*
olé dans sa tente, perdu dans ses pensées. Qui pouva
our : Elias, Orlan, Elena... Non. Il secoua la tête. Il
ignifiait qu'Aldric lui-même n'étai
nstant, essayant de calmer
extérieur le fit rou
-il d'une vo
ous la toile
l'air
moment avant
'a dit quel
atten
'est pas l'instigateur d
érêt brilla da
u le c
s sou
is plus qu
osant une main lég
sonner. Un ennemi capturé cherch
au fond de lui, le dout
rce plus grande manipulait tout c
nt des ombres longues et sinistres sur le camp des rebelles. Marcus, debout près du feu, scrutait l'horizon, une lourde pensée sur le cœur. Ils avaient remporté de
ficelles. Quelqu'un d'autre, dans l'ombre, observait et manipulait chaque mouvement. Un frisson parcouru
lena. Elle s'approcha de lui, son visage marqué par les heures de ve
nsif, murm
doute, répondit-il
e lui, son regard aus
ue des prisonniers, Marcus.
e qui cloche. Pourquoi Aldric serait-il un simple pion
les épaules,
'est pas temps de nous laisser guider par des fantasmes.
campement. Tout autour de lui, les rebelles s'ac
essage ce matin,
messa
oisissant ses m
offre l
es mots. Marcus se redres
pai
tête, les sour
à mettre fin à cette guerre, si tu acce
a de rire, u
tombe dans un piè
egarda att
es cer
ffre jamais rien sans en attendre quelque chose en retour. C'est une man
a entre eux. Puis, Elena pr
ncère ? Si c'était vraiment la f
réellement hésitante. Il secou
r cela. Et trop perfide. Nous devo
e petite lueur d'inquié
-elle finalement. Mais tu sais que
avait pris sa décision, mais le doute persistait, comme une ombre insidieuse. Il a
*
isif. Marcus sentait l'adrénaline monter, mais aussi une tension sourde. Il savait que quelque chose de terrible allait
ques-uns de ses meilleurs hommes. La route vers la capitale était longue, mais il sava
trop calme. Mais Marcus savait qu'Aldric n'avait pas pour habitude de se montrer dans les moments cruciaux. Tout autour d'eux, des
ns l'air. Il savait qu'il n'allait pas simplement rencontrer Aldric, mais que la bataille, l
it chemin escarpé menant directement à l
êts. Quelque chose ne
jeta un regard inq
z qu'il nous
hocha l
anière évidente. Il fau
ivi par le bruit sinistre de cordes tendues. L'instant d'après, les arbres autour d
urla une voix
r s'arrêter un instan
flèches prêtes à fondre sur eux. Les soldats
tour d'eux, les bruits de pas se multipliaient. C'était une embuscade bien orchestrée, comme il l'
e froid sur les lèvres
tu aurais plus de sens de l'honneur q
n avant moi, Aldric ! répondi
s, qui se trouvait à côté de Marcus, se pencha pour éviter le tir, mais la flèc
arcus, se précip
, du sang coulan
c'est juste... u
le égratignure. Il attrapa Elias sous les bras
rtir de là, c
flèche enfoncée dans le torse d'Elias ne semblait pas vouloir disparaître. Marcus, les bras tremblants sous le poids de son ami, se battait pour garder son calme alors que les soldats d'Aldric encerclaient
ria Elias, la voix brisé
a tête, refusa
ne te laiss
t, leurs armures cliquetant sous la pression de leur avance. Il devait fuir, mais comment ? L'i
main crispée sur l'épaule de son ami. Ils n
fonçait sur eux. Marcus leva son épée, mais il savait que ce n'ét
Elias contre lui, l'aida à se redresse