Vendue Au Vampire
pit
hissait. La bibliothèque, vieille de plusieurs siècles, semblait être un sanctuaire de secrets oubliés. Elle s'était toujours sentie connectée à ces lieux, comme si les livres recélaient des trésors inaccessibles à la plup
et terrifiants. Elle avait passé des heures à lire tout ce qui se rapportait à eux, des classiques de la littérature gothique aux histoires plus modernes, à la recherche d'un indice qui pourrait
résentant une silhouette humanoïde, aux yeux perçants. Aucun titre n'était visible, à l'exception de quelques lettres dorées qui s'étaient presque effacées avec le temps. Intriguée, Camille le p
des êtres immortels, séduisants et cruels, avec une soif de sang qui nourrissait leur existence. Mais ce qui la fascina encore plus, c'était la mention d'un certain rituel qui, selon la lég
igmatiques qu'elle venait de découvrir. Ses pensées tourbillonnaient. Qu'est-ce que cela signifierait de revenir à la véritable nature humaine ? Camille ne pouvait s'empêcher de se demander si
es. Elle décida de marcher un peu pour digérer ses pensées. L'air frais caressa son visage, et ses pas résonnaient doucement sur les pavés. L'éclairage tamisé des réverbères pro
ors qu'elle aperçut une silhouette solitaire. Un homme se tenait là, sous la lumière faible d'un réverbère. Il ne bougeait pas, mai
grand, sa silhouette élancée et ses traits parfaitement sculptés. Ses cheveux noirs étaient éparpillés autour de son visage pâl
e danger. Elle se sentit soudainement prise dans un tourbillon, incapable de détourner les yeux, comme si e
s quelque chose ? » demanda l'ho
e répondre, sa gorge soudainement sèche. « Je... je n'étais pa
s'il savait déjà tout d'elle. « C'est rare de voir quel
mme si quelque chose en elle voulait s'approcher, se perdre dans cette présence e
re d'un pas, effleurant à peine l'air avec ses doigts fins. « Tu es Ca
-ce possible qu'il l'ait remarquée ailleurs ? Elle sentit une vague de confusion, puis
, comme s'il scrutait son âme. « Je crois que tu cherches quelque c
n regard, dans sa présence, semblait irréel. Son corps réagissait d'une manière qu'elle ne comprenait pas, tiraillé entre la peur et une étra
s soif de vérité. Légendes et contes ne suffisent plu
espiration se faire plus profonde, plus rapide. Elle était figée, les mots manquaient à ses lèvres. Mais malgré la peur crois
rnaturelle, et Camille, malgré elle, sentit son esprit se perdre dans cette lumière. Ses pensé
sourire qui semblait à l
ête à découvrir ce que le de