Vendue Au Vampire
pit
rnaturel, entre ce qu'elle croyait être une simple rencontre fortuite et ce qui semblait être une destinée qui l'appelait. Il y avait quelque chose en lui, quelque chose de puissant et d'inexplicable, qui ne laissait personne indifférent. Ell
elle où l'odeur de café fraîchement moulu se mêlait à celle des vieux livres. C'était l'un de ces lieux où les gens se perdaient dans leurs pensées, où l'instant semblait suspendu. Cami
frisson parcourut son corps, une vague de chaleur la submergea, et en un instant, tout autour d'elle sembla disparaître. Il était là, debout dans l'entrée, observant la pièce comme s'il cherchait quelque chose... ou
installant lentement en face d'elle, ses yeux brillant
'était comme si le temps se suspendait à chaque mot qu'il prononçait. « Je pourrais dire la même chose », ré
de se tordre et de se mélanger », murmura-t-il d'une voix presque hypnotique. Il observa le livre ouvert devant elle, sans tou
eu plus vulnérable sous son regard. « Les livres son
? Les livres ne sont-ils pas faits pour nous o
a nuque. Elle se pinça discrètement la peau pour s'assurer qu'elle n'était pas en train de rêver. Mais non, il
quittant pas le sien. Il n'avait pas l'air de poser une simple question. Il sembl
s propres paroles. « Comprendre ce que je ressens, ce que j'ai toujours ress
la tête. « L'inconnu est une chose fascinante, Camille. Mais parf
. Elle ne savait pas comment répondre à cela. « Est-ce que vous croyez à l
ommes tous aveugles, Camille, jusqu'à ce qu'on apprenne à voir. Et parfois, ce que nous voyons nous fait peur. Mais
nte. Elle se sentait attirée par lui d'une manière qu'elle ne pouvait pas expliquer, comme si une force invisible les liait. Ch
savoir exactement pourquoi elle posait cette que
nt. « Je cherche... des réponses », répondit-il lentement. « Des réponses à des questions que
parole, chaque geste, cachait quelque chose de plus grand. Elle avait l'impression que
homme, vers cette connexion étrange qui la liait à lui de manière presque inexplicable. Ses pensées tourbillonnaient, mais il était si difficile de pens
tremblant légèrement. « Il y a quelque chose en vous q
e que nous avons tous quelque chose de différent en nous, Camille. Quelque chose qui nous rend uniques, mais qui nous fait aussi po
ais avec lui, tout semblait possible, et elle commençait à se demander si, peut-être, il n'y avait pas quelque chose de vrai dans ses paroles. Ce
sa présence avait marqué un avant et un après. « Ne vous inquiétez pas, Camille », dit-il a
ans ses pensées. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle était certaine d'une