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Apprivoiser l'Alpha déchu

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1218    |    Mis à jour : 28/01/2025

sion palpable, lourde et menaçante. J'avais à peine dormi, ma tête reposant sur le bord de la table, un vieux chiffon roulé sous mon front pour amortir le boi

d'un coup. Kaden s'agitait. Ses paupières tressaillirent avant de se soulever d'un coup,

'en restai figée. Son corps, malgré ses blessures évidentes, se tendit comme celui d'un préda

comme un fouet, brisant le sile

ple geste pouvait désamorcer la violence contenue da

rgé de mépris. « En sécurité ? Avec toi ? » Il me scruta, ses prunelles noire

fficilement. « Je suis Neya. Je vous ai trouvé dans la forêt.

it de reculer, mais je refusai de bouger. Il ne devait pas sentir ma peur,

voix baissant d'un ton, mais d

. « Parce que c'était l

se ? Dans ce monde, personne ne fait la bonne chose sans un

vous, obsédé par des arrière-pensées et des complots ? » rétorquai-je, ma voix tremblante d'indignation. «

ensité dans son regard ne faiblit pas. « Et tu veux me faire croire que tu n'attends rien en retour

remblement de mes mains. « Ce que je fais ou

n odeur – un mélange de terre, de sang et quelque chose de brut et sauvage

et presque envoûtante. « Pourquoi une femme qui possè

lui donner. Pas à lui. Pas à un homme dont je ne savais rien, et qu

» répondis-je finalement, ma voix teinté

être pesait-il mes intentions. Et moi, je me demandais pourquoi i

e brusquement, brisant

lessures ne vont pas se refermer toutes seules. Si vous continuez

ard avant qu'il ne se transforme en u

confirmai-je, déter

t sur le bord de la couverture. Un soupir s'échappa

e fois avant de descendre vers sa blessure. « Vous avez de la chance d

e, mais cette fois,

n'était plus seulement de la méfiance ou de l'hostilité. Il y avait quelque chose d'

scrutateur. Chaque mouvement que je faisais sem

risa le silence.

urprise. « Qu'est-ce q

s soigné. C'était... puissant. Pas co

le regard. « Vous délire

de chaleureux dans ce son. « Ne me mens p

à panser sa blessure comme si de rien

Le silence retomba, mais il était chargé de

plus sur la marque sombre sur sa poitrine. Elle sembla

brûlait mes lèvres. Mais avant que je ne puisse parler, il murmur

ourcils. « Un ra

, son expression était vulnérable, presque humaine

ncerne, » répond

e je n'étais pas sûre de vouloir résoudre. Mais au fond de moi, une étr

anger les bandages, je sentis son r

que ma vie ne serait

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