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Apprivoiser l'Alpha déchu

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1359    |    Mis à jour : 28/01/2025

me un rocher, ses pieds traînant sur le sol terreux, et chaque pas semblait une éternité. Sa chaleur imprégnait mes bras, mais ce n'é

ude d'accueillir les inconnus, encore moins un Alpha des Ombrelunes. Tout en moi me criait de le laisser là, de fu

uscles brûlaient, mes doigts tremblaient en agrippant ses épaules. Il était inconscient, sa tête pendante, mais son visage, même dans cet état, conservait une dureté qui me donnait froid

core plus petite avec lui allongé sur le sol, sa silhouette massive occupant une grande partie de l'espace. Je le

rofondes, certaines encore saignantes malgré l'agonie de ses mouvements précédents. Mon esprit analysait les prochaines étapes. « De l'eau, des b

de, puis revins m'agenouiller à ses côtés. Mon regard hésita sur son visage avant de descendre vers sa poitrine. Il y avait là une ma

e ma colonne vertébrale, et une vague de malaise me submergea. Cette chose semblait... vivante. Cha

» murmurais-je, plus pou

e m'avait mordue. Je retirai ma main précipitamment, mais pas assez vite pour éviter un bref aperçu d'une image

retrouver mes esprits. Mon souffle était saccadé,

mes pensées. Mon regard se posa sur lui, et je reculai instinctivement. Ses yeux étaient ouverts,

quille ! » Je posai une main sur son bras, mais il

açante, et son regard, maintenant fixé sur

ant légèrement. « Vous êtes... chez moi. Je vou

ant son flanc ensanglanté. « Pourqu

t mes mots. « Parce que... vous ser

s sombre, presque accusateur

urde monta en moi, balayant ma peur. « Et quoi ? Vous laisser pourrir là ? Vou

t pas immédiatement. Ses yeux semblaient me

qui vous est arrivé, et franchement, je m'en fiche. Mais si vous continuez comme ça, vous allez

audace. Il finit par se rasseoir, non sans une grimace de dou

re me hurlait de garder mes distances. « Ça va peut-être

ne pouvais m'empêcher de remarquer à quel point il était imposant, même affaibli. Ses musc

t-ce pas ? » demandai-je après un

onfirmation. « Et toi, tu n'es qu'une

il. « Parce que c'est ce que je fais. Je soi

finis par attacher un bandage autour de sa taille, m'efforçant d'ignorer l

itrine. Je sentis son regard suivre le mien, et avant que je ne puisse pos

» dit-il, sa voix

peur dans son ton. Ce n'était pas seulement

» chuchotai-je, incapabl

, mais son expression s'assombri

Cette marque... je devais comprendre ce qu'elle signifiait. Mais pour

'œil vers la fenêtre. La nuit était encore

r, » murmurai-je en ramassant l

rs que je m'éloignais, et une étrange sensation me submergea. Ce n'était pas seulement de la peur,

e pensée persistante refusait de me quitter : cet homme, avec sa force brute et ses yeux

une voix murmurait

lque chose de bien

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