Sous l'emprise de l'Alpha
"Si c'est une prison, c'est toi qui t'es enfermée en cherchant à comprendre des choses qui te dépassent. Mais laisse-moi te
rs la porte. Avant de sortir, il se retourna une dernière fois. "Ne me pous
ent moites, son souffle court, mais son esprit était en ébullition. La peur qu'elle avait
il lui mentait. Et ce qu'il cachait devait être
son cœur. Puis, lentement, elle quitta le bureau et retourna dans sa chambre. Mais au li
uvait pas confronter Victor directement, elle trouverait un autre moyen. El
e plafond de sa chambre, incapable de trouver le sommeil. Les mots de Victor résonnaient dans son esprit, lourds de menaces voilées et de mystères non résolus
derrière lui ? Elle n'avait pas fouillé entièrement son bureau et se maudissait de ne pas avoir pris plus de temps. Pourtan
upé ailleurs – probablement encore enfermé dans son bureau –, elle retourna dans sa chambre et se mit
ait rarement. Le bois grinça légèrement alors qu'elle tirait dessus, et au fond, sous quelques feuilles de
sorte de cercle entouré de lignes qui se croisaient en un motif géométrique étrange. Elle le pri
à. Était-ce Victor qui l'avait placé dans son tiroir ? Ou quelq
faiblement lorsqu'elle tournait l'objet entre ses doigts. Une partie d'elle voulait l'ignorer, le ranger
e chaleur, comme si l'objet réagissait à elle. Cela l'effraya, mais l'excitation prit rapidement le dessus. Elle se rappela alors
t. Le manoir était étrangement silencieux, comme suspendu dans un état d'attente. Les couloirs semblaien
t entre les mains de Victor. Mais elle ne pouvait pas attendre. Le pendentif, toujou
ais à son contact, quelque chose d'étrange se produisit. Le pendentif commença à briller, une lumière dou
lentement, révélant l'obscurité de la pièce au-delà. Clara hésita, son instinct lui hurlant de faire dem
nait pas. Les murs étaient nus, à l'exception d'un tableau ancien représentant une scène qu'elle ne p
pages jaunies par le temps. Elle ne comprenait pas le texte écrit dans une langue qu'elle ne reconnaissait
n pour toucher le livre, une
ara
eines. La voix était douce, presque apa
manda-t-elle, sa
n étrange l'envahit. Comme si quelque chose,
la voix, cette f
La lumière du pendentif vacilla un instant, puis brilla de nouveau, éclairan
uisse comprendre, la sensation de présence s'intensifia. Quelque chose frôla son
re... Découvre
son cœur battant à tout rompre. Elle serra le pendentif dans sa main, le regard f
a réalité et quelque chose de bien plus sombre et inconnu. Mais malgré
de briller, mais elle savait qu'il était bien plus qu'un simple bijou. Elle dev
lara ne pouvait se défaire de l'étrange malaise qui l'habitait depuis qu'elle avait surpris Victor et ses alliés dans cette réunion secrète. Elle n'était pas une jeune femme particulièrement courageuse, mais quelque chose en elle refusait de céder à la peur.
ent allait devenir une arme. Dans sa chambre, éclairée par la faible lueur d'une lampe, elle transforma son apparence : un foulard sombre pour cacher ses cheveux, des lunettes dén
espirer autour d'elle. Chaque craquement du bois sous ses pas était un coup de tonnerre à ses oreilles. Mais elle ne se déroba pas. Elle avait repéré un petit e
endit. Les voix des hommes résonnaient dans la pièce voisine
réparatifs. Le rituel ne peut
it, sa voix plus grav
i tu ne peux pas les garantir, nous tro
prenait pas tout, mais le ton des échanges laissait peu de place
le se risqua à pénétrer dans le bureau. Elle y trouva des papiers éparpillés sur le bureau en acajou. Une carte, annotée de symboles qu'elle
or, qui revenait. À travers le tissu épais, elle pouvait le voi
dit-il finalement, sa vo
use si elle était découverte, mais Victor ne chercha pas plus loin.