Sous l'emprise de l'Alpha
nversations continuaient, mais un groupe particulier attira son attention. Ils étaient trois, r
sait un homme à la carrure imposante, son masqu
rné de plumes noires. "Mais il faut s'assurer que personne ne pe
me, plus discret, dont le masque argenté
ement, consciente qu'elle risquait de se faire repérer. Son esprit bouillon
ompant la conversation. Clara en profita pour reculer discrètement, ses pensées tourbillonnant. Ell
masqué n'était pas qu'une simple soirée mondaine. Victor et ses invités complotaient quelque chose, et elle était b
u du chaos : elle ne reculerait pas. Pas cette fois.Le parfum lourd de mystère et d'intrigue flottait toujours dans l'air lorsque Clara décida de braver une nouvelle fois les interdits. Le bal masqué battait son plein en contrebas, les murmures, les
ement, elle descendit discrètement les escaliers qui menaient à l'aile opposée du manoir. Cette partie était faiblement éclai
e près d'une fenêtre. Clara s'arrêta net, son cœur tambourinant dans sa poitrine. La pers
lqu'un qui en fait partie," lança l'homme,
urprise. "Et vous ?" répliqua-t-elle, son ton dé
derrière le masque, elle sentit leur intensité. "Je pourrais dire que je
cils. "Me protéger ?
semblait la jauger, comme s'il pesait le poids de chaque mot qu'il s'apprêtait à pr
a voix teintée d'urgence. "Tout le monde ici agit comme si j'é
son visage masqué. "Ce manoir est un piège, Clara. Pas une
échine. Il savait son prénom. "Qui êt
. Pour l'
ble. "C'est un peu facile à dire, non ? Si vous ête
vous devriez faire attention. Ces gens... Ils sont là pour des raisons qui dépas
nnèrent soudainement dans le couloir. L
murmura-t-il avan
t comment savait-il autant de choses ? Avant qu'elle ne pui
Que fais-
ils froncés dans une expr
balbutia-t-elle, tentan
a-t-il froidement. "Il n'est pas p
gard lui cloua les mots dans la gorge. À contrecœur, el
regard perdu dans le vide. Qui était cet homme mystérieux ? Pourquoi l'avait-
et posé sur sa coiffeuse. Elle était certaine qu'il n'était pas là plus tôt. Prudemment, elle s'en app
crites à la main. L'écriture était nette, élégante, mais les mots étaient codés,
is elle n'arrivait pas à les replacer. Puis, sur une page presque à la fin, elle tomba sur quelque chose qu
à Victor, elle en était sûre. Mais pourquoi y avait-il des références à elle ? Et pourquoi avait-
xaminer le carnet. Elle devait comprendre, décoder ces mots, ces
t savoir beaucoup de choses. Peut-être pourrait-il l'aider. Mais cela signifiait prendre des risq
it découvrir.La nuit s'étirait, lourde et oppressante. Les bruits de la fête s'étaient estompés, et le manoir était redevenu silencieux, comme s'il retenait son souffle. Clara ne trouvait pas le sommeil. Le carnet qu'elle avait découvert reposait sur son bureau,
pas. Mais ce soir, Clara avait entendu les clés cliqueter dans la serrure lorsqu'il était
couloir était plongé dans l'obscurité, et seul le faible éclat de la lune, filtrant à travers les vit
était lourd, imprégné de l'odeur du cuir et du tabac. Une lampe à huile, posée sur le bureau, jetait une lumièr
remplies de livres anciens, et sur le bureau trônaient des piles de documents impeccablement
fonnés, mais cette fois, certains étaient accompagnés de dessins étranges : des cercles entrelacés, des lignes droites
pas dû fair
retourna lentement, ses yeux rencontrant les siens. Il se tenait dans l'encadrem
e comprendre," balbutia-t-elle,
lui d'un geste sec. "Comprendre quoi, exactement ? C
ir. "Tu passes ton temps à me cacher des choses, à me traiter comme une enfant ! Mais je n
i, Clara. Tout ce que tu as, je te l'ai donné. Le toit au-dessus de ta tête, la nourriture
alors que tu passes ton temps à mentir ? Qui sont ces gens que tu invites ? P
son bureau, mais Victor ne sembla pas surpris. A
evrais pas chercher à savoir,
"Arrête de prétendre que tu fais ça pour moi. Ce manoir... cett