Ma Rencontre avec le Chef Mafieux
s hommes de son père, l'écho du point de non-retour. Elle n'avait jamais voulu savoir, mais
rte en bois qui séparait le hall de l'intérieur de la pièce. L'air lourd de la pièce semblait oppressant, empli d'une tension qui semblait rendre chaque souffle plus diff
a vie de son père, ne l'avait jamais vraiment intéressée. C'était un univers dont elle n'était qu'une spectatrice. Mais ce soir, quelque chose l'avait pouss
cachée derrière les mots apparemment banals. Elle se pencha légèrement en avant, écoutant attentivement. Des noms, des détail
comme celle de Gianni, un homme que son père avait toujours dans ses entour
faut régler le problème de Sofia. Elle sait trop de chos
qu'un monstre derrière les portes de leur maison. Mais les mots « éloigner » et « Sofia » n'avaient pas la même signification que les autres m
dans la réalité de ce qu'elle venait d'entendre. Son père, le seul homme qu'elle avait jamais connu, n'avait pas seulement tué, il
couvert par accident, ne devait pas être ignoré. Elle n'était plus une simple spectatrice. Ce so
oit trop tard. Mais quelque chose la tira vers le bureau de son père. Sur une impulsion, elle se dirigea vers la petite étagère où il gardait
'implication de son père dans des affaires criminelles de grande envergure. De l'argent sale, des transactions illégales, des meurtres dissimulés - tout y était. Un document qui pourrait
de retour en arrière. Le bruit sourd de la porte du bureau se fit entendre. Les voix s'étaient rap
chaque bruit analysé. Elle s'arrêta devant la porte d'entrée. Elle sentait ses mains moites. So
là la pousserait à franchir la ligne. Mais elle n'avait plus le temps de penser. Elle se précipita vers la porte, la refermant de
va l
lle se précipita en avant, courant dans la rue déserte, son cœur battant à toute v
e dessinaient, se rapprochant, les hommes de son père. Sofia pouvait le
stinct de survie la poussait encore plus loin. Elle tournait dans les ruelles, espérant semer ses poursuivants
la nuit. « At
rrêta net. Trois hommes se tenaient là, bloquant sa route. Sofia n'eut pas le temps de réfléchir. Elle fonça droit vers l'un d'eux, utilisant tout ce qu'elle avait pour
ia. C'est fini, » gronda l'homme
la fit chanceler. La douleur explosa dans son crâne, mais elle ne
tous, vous le savez ça ? »
eader fit un signe de la main, et Sofia senti
ur rester en vie, Sofia. D
lier en deux. Le carnet qu'elle tenait s'échappa de ses bras. Les hommes commencèrent à l'emmener, mais
âchez
it so