Ma Rencontre avec le Chef Mafieux
rait la clé de son échappée. En fuyant la menace de son passé, elle
e de la nuit, s'ouvraient devant elle comme une gueule prête à l'engloutir. La chaleur de l'adrénaline l'envahissait, comme une vague qui écrasait tout sur son passage. La douleur dans ses cô
oin. Elle n'avait aucune idée de l'endroit où elle allait, mais peu importait. Il fallait échapper à ceux qui la traquaient
les délabrés s'élevaient autour d'elle, leurs façades fissurées et menaçantes. Dans les ruelles sombres, des silhouettes se dessinaient, des ombres furtives
plus forte que sa prudence. Sofia s'y précipita, s'y glissant à l'intérieur dans un mouvement presque animal. Elle se faufila dans les ténèbres du bâtiment, cherchant désespérément un
sière. La sensation de danger était omniprésente, comme si les murs eux-mêmes savaient que cet endroit n'était pas simplement abandonné, mais qu'il appartenait à quelque chose de bien plus
était un bruit distinct, l'écho de pas lourds qui résonnaient dans l'édifice désert. Sofia se figea. Le bruit se rapprochait. L'adrénaline monta i
e ne dura pas. Une voix grave, calme, pre
s que tu
onde, autoritaire, et elle portait en elle une menace évidente. Elle
usque dans son âme. Il s'avança lentement, son visage marqué par une dureté et une expérience que Sofia n'avait jamais vues. Ses traits étaie
comme s'il cherchait à comprendre qui elle était et po
ne semblait pas pressé, et pourtant, il la scrutait avec une attention minutieuse. « Tu sais que
haleur du carnet sous son bras, comme un fardeau qu'elle n'arrivait pas à abandonner. Il fallait qu'elle garde son ca
maintenant. Marco De Luca. Un nom qui faisait trembler ceux qui osaient prononcer son nom dans le milieu. Un mafieux no
brillant d'une lueur froide. « Tu es loin d'être la première à tent
ue respiration, comme un chasseur étudiant sa proie avant de frapper.
tion qui n'en était pas vraiment une. « Et tu sais ce qui arri
ue sa situation était désespérée, mais elle ne pouvait pas céder à la panique. Elle serra le carnet contre e
d'un autre coin de la pièce où une petite table en bois trônait. Il posa un verr
arqua une pause, ses yeux devenant plus perçants. « Tu n'es pas la prem
De Luca, et maintenant, il n'était plus question de fuir. Il n'éta