L'héritière des deux empire du milliardaire
réfléchir à mon choix. Dès que j'annonçai à Mar
egard fixé sur moi comme un oiseau de proie. Tu sais très
répondis-je, évitant de croiser so
visiblement sceptique. Dep
tation directe avec Marie était une bataille perdue d'avance. À la place, je pris mon sac e
*
ire, sobre mais élégante, avec des vitres teintées qui ne laissaient rien deviner de l'intérieur. L'homme qui m'atten
? demanda-t-il en s
ondis-je, hésitant à
t, dit-il simplement en ou
érieur avait été coupé. Le chauffeur ne disait pas un mot pendant tout le trajet, ce qui ne faisait qu'ajou
mpagne plus étroites et sinueuses. Puis, enfin, la voiture s'arrêta devant une immens
*
semblait chargé d'histoire, de drames et de secrets enfouis. Les murs de pierre étaient recouverts de lierre, et les immenses fenê
'avais jamais vu. Grand, élégant, mais avec une aura qui mettait immédiatemen
ec un sourire qui n'atteignit pas
impressionnant que l'extérieur. Des lustres en cristal pendaient du plafond, des tableaux anc
-je finalement, ma voix ré
ers moi, son sourir
vous êtes bien plus import
uche, un mélange de curiosité et d'appréhensio
u plafond. Une longue table recouverte d'une nappe immaculée s'étendait devant moi, ornée de couverts en argent et de chandeliers délicatement sculptés. Julien s'éta
ir et pétillant de malice, tout en lui évoquait une sorte de simplicité élégante. Julien, lu
sur la table dans un geste délibérément familier, d
e sentis une tension immédiate s'installer, comme si chaque mot pron
es mots, mal à l'aise sous son regard perçant. Compren
rien de chaleureux dedans. Il semblait amusé p
la coupe de vin devant lui. C'est une
ilence jusque-là, intervint a
irer, dit-il avec un sourire léger mais ferme. El
ire s'élargissant légèrement, mais
us méprenez pas, Aline. Si vous êtes ici, c'est parce que votre présenc
x, visiblement agacé,
un clin d'œil. Je suis sûr que vous avez beaucoup de questions, et nous ferons de notre mieux
Antoine semblait sincère, mais une part de moi restait méfiante. A
*
s apparemment innocentes, mais leur teneur laissait entendre qu'il en savait bien plus qu'il ne le montrait. Antoine, de son côté, essa
dans une discussion que j'avais avec Antoine sur le
léchir. Chaque réponse sembl
uai-je finalement. Je ne connais pas gra
ici, murmura-t-il, presqu
ourcils et se pencha
dit-il avec un sourire rassurant. Mais ne vous inquiét
sa coupe de vin en un toast silencieux. Après t
ong de ma colonne vertébrale. L'une d
*
oindre dans le salon. Antoine voulut pro
versation, dit-
bliothèques et un feu crépitant dans l'âtre. Julien s'assit dans un
er pourquoi vous êtes ic
ne l'avais anticipé. Vous dites que je suis...
, son regard plongé dans les flam
avons un passé complexe, des secrets qui nous lient et qui nous di
yant de comprendre le
nte ? répétai-je.
énigmatique sur les lèvres. Mais pour cela, i
a de moi, ses yeux somb
t. Une rencontre privée, demain. Nous discuterons
is avant que je ne puisse répondre, Julien se détourna, me laissant seule dans