L'héritière des deux empire du milliardaire

on attitude encore plus distante que d'habitude. C'était subtil, presque imperceptible, mais après des années passées à

ous retrouvâmes seules dans le salon. Elle était assise d

prudemment, « puis-je vo

xpression neutre. « Bien

. « Ce que Lucas a dit hier soir... à propos de mes origines. Est

était sur la défensive. « Lucas aime dramatiser, tu l

é cette question ? Pourquoi semblai

de son fauteuil. « Aline, écoute-moi bien. Il n'y a rien à découvrir. Rien

nter. Mais avant que je ne puisse répliquer, ell

*

laient s'éviter, chacun d'eux plongé dans ses pensées. Je restai silenci

isait que quelque chose se préparait, que je ne devais pas baisser ma garde. Je décidai de descendr

is près du bureau de Marie, j'entendis des voix étouf

», disait Lucas, sa voix teintée de frust

si tu tiens ta langue »,

a rester dans l'ignorance indéfiniment ?

'installa, et je r

, presque menaçante, « si tu oses lui dire quoi

e que tu vas faire ? Me renier ? Me mettre à la porte ? Vas-y, mam

mballer. Un mensonge ?

orte. Je reculai précipitamment, montant les escaliers à toute vitesse avant de me réfugier

u'ils me cachaient ? Et pourquoi Lucas s

Marie voulait enterrer à tout prix. Mais ce n'était pas seulement leur affrontement qui m'habitait désormais. C'était cette certitude qu'il détenait les réponses à mes

ait de savoir comment entrer dans son esprit sans qu'il ne perçoive mes véritables intentions. Lucas n'éta

tard, le visage encore marqué par les ombres de la veille. Sa chemise froissée

n sourire que j'espérais naturel, to

sarcastique dans son regard. « Tiens

ondis-je en haussant le

répondre immédiatement. « Disons que les nui

rovocation, préférant un ton plus

emin de ses lèvres. « Parler ? De

que je ne peux pas ignorer », dis-je calmeme

rire narquois. « Ah, voilà.

par sa réponse. « Qu'es

» Il se pencha légèrement en avant, son regard perçant. « Je voulais

, mais il avait raison. Il

croisant les bras. « Alor

Oh non, ça ne marche pas comme ça, Aline. Tu veux

*

endre la conversation. Le soleil illuminait les allées impeccablement entreten

ai-je en m'appro

un air pensif sur le visage. Il me jeta un coup d'œil avan

is ce que tu essaies de me cacher »

Puis il se redressa, éteignant le mégot contre l'écorce

e fis de mon mieux pour ne

Un secret qui pourrait briser cette famille si quelqu'un venait à le décou

s. J'ai le droit de

amusement. « Ta vie ? C'est drôle que tu dise

» m'écriai-je, ma p

ouvais sentir son souffle. « Si je te dis tout, Al

t, méfiante. « Qu'es

il avec un sourire mystérieux. « Ma

que je n'avais pas le choix. Lucas détenait les réponses que je cherchais,

je finalement. « J

nt. « Prépare-toi, Aline. Ce que tu