La Luna indésirable des jumeaux Alpha
je revoyais le visage de Teren, son sourire inquiétant, ses mots enfoncés dans mon esprit comm
s sous le poids du vent, et l'odeur familière du bois humide me rappelait de vie
lait savoir bien plus qu'il ne disait, et de cette tension étrange avec Teren. J'a
es d'avoir trop longtemps tourné dans le lit. Je nouai mes cheveux en un ch
te avec un grognement à peine poli, ses cern
Lysa ? » dit-il en me s
répo
sur le visage. Il hésita un instan
e chasse. Une odeur de tabac froid flottait dans l'air. Je m'assis à la tabl
mandai-je, bri
e d'un café tiède qui avait visiblem
rs qu
ça. Tu sais quelque chose
chaise en face de mo
a. Et ça, je le sais depuis
répétai-je, un
, prenant une go
est pas juste des loups sauvages qui traînent
Je l'avais déjà entendu, murmuré dans les ruelle
rmurai-je. « Mais c'est juste
ules, un rictus ame
aire croire. Mais moi, j'ai vu des chose
sistai-je, mon cœur
regard devena
ue hier. Elle menait à une clairière. Mais au lieu d'un corps, j'ai trouvé... une ombre. Une ombre qui bougeait, al
sincère, et pourtant, cela défia
demandai-je, ma v
ecoua
ent pour les Ombres. Peut-être qu'ils *sont* les Ombres. Je sai
mais une part de moi ne pouvait pas
-
soleil déclinait, je pris une décision.
aient se resserrer autour de moi, leurs branches formant une voûte sombre qui bloquait la lumiè
n anxiété que de l'effort. Elle était exactement comme dans mes souvenirs : baign
rchant des indices. Et
issai pour l'examiner de plus près. Elle était ornée d'un symbole gravé : deux cro
l'avais vu dans les notes de ma mère, esquissé e
. Elle était froide au toucher, comme si ell
est... ? » murmura
fit sursauter. Je me re
ppelai-je, ma voix
bruits de pas approchai
ls app
es crocs découverts dans un rictus menaçant. Le second, plus petit mais tout aussi imposant,
nt lentement, leurs grogne
e. Mon souffle s'accéléra, et je serrai la chaîn
moi ! » criai-je, mais ma v
nsité troublante. Je sentis mes jambes trembler, et une
un pas de plus, une voix grave et
rête
a
t presque instantanément. Ils tournèrent la têt
, son visage dur, son
-il d'une voix ferm
nt, ils reculèrent lentement, dispa
moi, son expressi
ici, » dit-il, sa voix ba
ur battait encore à tout rompre, et me
uoi tu es là ? » mu
t, son regard se posant sur la
e sais pas encore où
ne place au doute. Et pourtant, ses mot