La Luna indésirable des jumeaux Alpha
t leur plein : des guirlandes de fleurs étaient suspendues entre les maisons, et les tables du grand banquet se remplissaient peu à peu de p
regard méfiant qu'ils me jetaient parfois me donnait envie de disparaître. Mais je ne pouvais pas
uement, perçant le mur
aniser des rondes, pas danser a
ère. Il s'adressait à un groupe de villageois, dont certains hochaient la tête
n vieil homme, le visage creusé par les ans. « Courir dans
t pourtant tout le monde ici tremble dès qu'on en
er autour des récentes disparitions. Une femme, puis un enfant avaient disparu sans lais
rôdent dans la forêt, c'est autre chose. Peut-être des bêtes, ou des homm
e figea, et pour une fraction de seconde, je
chose, non ? » lança-t-il brusquement, att
rut, mais je tentai
soit ? » répondis-je, consciente
omme par hasard au moment où tout ça commence
ouvais sentir le poids des regards sur moi, c
e en posant une main sur son bras. «
uant la tête, avant de
incapable de bouger. La foule s'était dispe
d'un coupable. Ne le pre
rent sur un homme que je n'avais jamais vu auparavant. Grand, élancé, avec une postur
êtes-vous ? »
t tout expliquer. Il s'avança de quelques pas, son regar
sa. La fille qui revi
nt une colère sourde monter
isiblement amusé par ma réaction.
rase. Mais Teren ne semblait pas chercher une réponse. Il m'observait comme un prédateu
nalement en s'éloignant. « Ce village a u
en après qu'il eut disparu. Qui était-i
participer. Je restai à l'écart, observant de l
la nuit, glaçant tou
ains tremblantes agrippant les épaules d'un homme
ctif ne s'élève. Les gens se regardaient, paniqués, leu
tenta de rassurer quelqu'un, mai
s de la fontaine. Une femme pleurait, ses san
mme, pointant du doigt un chemi
ée sombre s'étirant sur le sol, presq
tinctivement, murmurant des p
ara Milo, sa voix tendue.
sang emplissait l'air, et chaque fibre de mon être me criait de ne pas avanc
s l'obscurité oppressante de la forê