Les Chaînes du Destin
ux en lui adressant un regard scrutat
oliment, bien que la
ce, mais son regard ne cessait de se poser sur la chaise vide à l'autre bout de l
blait avoir dans la trentaine, à l'allure soignée ma
el », déclara-t-il avec un sourire en coi
répondre, mais murmura un vague remerciement. Il la fixait avec une intensité qui la dést
, intervint Madame Deveraux, coupant court à la c
tement fin aux échanges, et Julien détourna les y
ement élaboré. Clara, elle, sentait de plus en plus le poids de son nouveau rôle. Les heures s'égrenaient lentem
ns impeccablement entretenus, mais même dans cet espace ouvert, elle ne parvenait pas à échapper à l'oppression qu'elle
a, att
e tenait à quelques mètres d'elle, les mains dans les
-t-il, son ton adouci, contrastant av
si elle pouvait lui faire confiance, mais il était le premier à lui adresse
, » avoua-t-elle finalement. «
ucement, presque
est beaucoup pour une seule personne. Surtout quand Gabriel
el. Julien parlait avec une certaine amertume, et Clara se dem
ès un moment de silence. « Tu apprendras vite que rien n'est j
en avait déjà trop dit. Clara ressentit une étrange sensation. Il y avait quelque chose de non dit, quelque chose de pro
nouveau seule, perdue dans ses pensées. Elle retourna dans le manoir, cherchant
sistant, semblait venir du couloir adjacent. Curieuse, elle posa son livre et sortit de la pièce, se dirigeant vers l'orig
détériorer davantage », disait-elle d'un ton glacial.
ur ou par compassion. Mais entendre ces mots la blessa plus qu'elle ne l'aurait cru. Elle se recula
érémonie s'amplifiait à chaque instant. Que cachait cette famille ? Pourquoi étaient-ils si déterminés à la garder ici,
ensées, une domestique frappa à la
ns la chambre de Monsieur Gabriel », an
fonde inspiration, et suivit la domestique dans les longs couloirs du manoir, jusqu'à la chambre de Gabriel. Là,
dre que ce mariage, bien que peu conventionnel, est crucial pour nous. Gabriel se réveillera, j'en suis convain
n tel poids sur ses épaules. Comment pouvait-elle veiller sur un homme qu'elle
el. L'air dans la chambre semblait soudainement lourd, presque suffocant. Clara s'approcha lentement du lit, r
, mais son immobilité rendait cette beauté presque effrayante. Clara se demanda combien de temps elle
uelque part, au fond d'elle, une petite flamme de révolte commençait à brûler. Elle ne pouvait pas re
u pour elle. La pièce était silencieuse, hormis le bruit régulier des machines qui surveillaient les signes vitaux de Gabriel. Un lége