Les Chaînes du Destin
où le feu, laissé brûlant la veille, n'était plus que braises. Elle observa les portraits accrochés au mur. De grandes figures de la famille Deveraux, des visages froids et rigides, tous semblant
ercer Clara avec une
veraux, l'arrière-gr
e retrouva face à Sophie, l'une des domestiques du manoir. Elle tenait un plateau
dit Sophie, inclinant légèrement la tête. « Vou
tant, mais elle hoc
à nouveau le tableau. « Gabriel ne m'a jamais parlé de sa famille, e
omme si elle comprenait mieux que qui
faires familiales. Beaucoup de choses sont restées non dit
os. Elle voulait en savoir plus, mais chaq
? » demanda-t-elle, s'effor
rtrait d'Alexandre Deveraux avant de murmurer : « Il y a des
er plus de questions, mais une
is que tu te f
e malicieux sur le visage. Sophie s'inclina légèrement avant de quit
emblait toujours si détendu, presque désinvolte, mais il y avai
-t-il en s'installant nonchalamme
rvée sous le regard scrutateur de Julien. Elle détesta
n cherchant à changer de sujet. « Tu sembles connaître beaucoup d
coin, mais son re
marqua une pause, observant la réaction de Clara. « Il était comm
Ce mot, « cruel », résonnai
quoi c
jouant distraitement avec
ennent pas. Alexandre était un maître de la manipulation. Il a bâti cet empire, cette maison, en écrasa
isaient qu'alourdir l'atmosphère déjà pesante du manoir. Elle se demandait à quel point Gabriel
ander, la voix presque tremblan
a échapper u
dans un autre contexte, il aurait suivi les traces de notre arrière-grand-père. » Il se pencha légèrement vers elle,
emblait prêt à lui révéler. Il y avait des vérités qui semblaient trop lourdes à porter, et c
visiblement amusé pa
apprendras bien assez tôt. » Il lui lança un dernier regard
des graines de doute, des demi-vérités, tout en la laissant dans l'obscurité. Elle devait comprendre
ou cette image n'était-elle qu'une projection de la part de Julien ? Elle se rendit à la bibliothèque, espérant trouver quelque chose qui pourrait éclaire
un récit personnel, écrit de la main d'un membre de la famille Deveraux. À mesure qu'elle parcoura
lial, ses trahisons, et ses ambitions sans fin. Plus Clara lisait, plus elle se sentait oppressée par la froideur calculatrice de cet homme. Mais ce qui la frappa le plus
l laissé derrière lui ? Et Gabriel, dans tout cela, en était-il l
t être. Clara le savait désormais, mais elle devait décider si elle était prê
veraux hantait ses pensées, ses mots résonnant en elle comme un avertissement. Le manoir, lui-même, semblait avoir un souffle propre, chaqu