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La promise du prince séducteur

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1214    |    Mis à jour : 30/11/2024

pit au milieu du chaos. Par la fenêtre, je pouvais apercevoir le royaume, une vision trompeuse d'un foyer que

ruelles me hantaient, mais elles éveillaient aussi en moi un étrange sentiment de défi. Mourir sous leurs

entendais presque sa voix. Ses mots murmuraient à mon esprit, m'encourageant à vivre, à ne pas céder. Une i

orceau de pain sec, et le châle rose. Enveloppée dans une cape sombre, je glissai hors de ma chambre. Chaque

aient mes alliées, masquant ma silhouette fragile des regards indiscrets des gardes. À mesure que je m'app

Sa voix perça la nuit : « La princesse ! ». Pris de panique, je laissai tomber mon sac et m'élançai en av

es humiliations, la violence, les regards méprisants. Tout ce que j'avais enduré pour survivre

gré mes cris et mes coups, je ne pouvais échapper à leur emprise. Un chiffon imbibé d'un parfum suffocant fut pl

uiétude m'envahissait, et je laissais l'eau m'attirer loin de la réalité insupportable. Mais cette sérén

étines. La pièce où je me trouvais dégageait une atmosphère suffocante : les murs, fissurés et couverts de moisissures,

ant à fuir, les mains brutales qui m'avaient retenue... Tout se mêlait à une sensation d'angoisse oppressante. Puis, le gr

ne pas crier, je re

sseuse, à en juger par son apparence frêle mais résolue. Larmes

rai profondément, chaque bouffée d'air m'apaisa

u... s'il v

remblantes peinant à la maintenir. Mais avant que je ne puisse en finir, la tasse

on expression menaçante. À ses côtés, sa femme, cette vipère qui m'avait

u essayer de fuir ? Ta vie a enfin une utili

a douleur. Il agrippa violemment mes cheveux, me forçant à le

te ! Et toi, ingrate, tu envisages de sacrifier tout

ne comprenne ses intentions, traça une profonde entaille sur ma main droite. Une douleur cuis

a femme. Toute ma vie, je les avais craints, mais

a mémoire de ma mère. Vous parlez d'honneur alors que vou

sa contre le montant du lit. Mon coude heurta le bois avec un craquement

el, peu importe tes protestations. Sinon, je ferai de toi une esclave, et je livrerai ce royaume à nos ennemis. Pen

voulait résister, mais une autre voyait clairement le piège : tou

autel, » murmurai-je d'une v

avant qu'il ne me tire violemment hors du lit.

agenouiller dans la boue. Je l'entendis manipuler des chaîn

u seras enchaînée comme telle. Dans deux semaines,

ux, me laissant seule dans ce lieu immonde. L'odeur pestilentielle

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