L'héritière de Seconde Chance du Milliardaire
mière chaude et tamisée tombait sur des robes en soie et des costumes sombres, créant une atmosphère feutrée et élégante. Elle n'en faisait pas partie, ou du moins, elle n'en ét
d'un empire, la femme parfaite pour lie
n homme puissant ce soir, un homme qui marquerait le début de sa propre ascension. Gabriel Blackwell, l'héritier du colosse industriel Blackwell Enterprises. Tout était calculé : la réception, les alliances, les conversatio
er. Et Gabriel... Gabriel Blackwell était l'alpha, celui qui, tout juste sorti de la guerre économique, traînait derrière lui le poids d'un empire dont les racines plongeaient pro
n frisson glacial parcourir sa colonne vertébrale alors qu'elle se rapprochait de l'homme, le regard déterminé, mais le cœur léger, presque insouciant. Elle ne savait pas po
simple formalité dans une succession d'événements qu'il contrôlait d'une main de fer. Il la salua d'un hochement de tête
ine les sourcils, comme pour marquer son désintérêt. Il prit une coupe de champagne de l'un des serveurs qui passaient et la tendit à Sophia sans vraiment la regarder. Elle prit la coup
arée, l'avaient forgée pour ce genre de moment. Mais elle... Sophia se sentait étrangère dans ce monde de faux-semblants. Elle n'était pas comme ces autres femmes q
demanda Gabriel avec un léger sourire en coin. Il avait l'air de se moquer d'elle, comme si s
disons que je suis encore en train d'apprendre, » répondit-elle, une
prête à faire des sacrifices. À comprendre les vrais enjeux. » Il leva une main pour interrompre une question qu'elle n'avait pa
es enjeux d'un monde dont il était l'incarnation ? Mais elle ne répondit pas. Pas encore. Pas devant lui. Pas dans ce mo
antanément. Elle resta là, seule, comme une ombre dans l'ombre, son corps figé dans une immobilité qui ressemblait plus
me qui allait changer sa vie, celui qui allait faire d'elle une femme
Elle trouva un petit balcon, là, à l'écart, sous un ciel d'une noirceur glaciale. Elle se laissa tomber
mais. Dans ce monde doré, il n'y avait que des pièces mobiles, des alliances formées et déformées au gré des intérêts, des désirs et des besoin
une rencontre dénuée de sens dictée par des jeux de pouvoir et d'apparences, définir son avenir. Elle se lev