L'héritière de Seconde Chance du Milliardaire
e avait quitté la salle en douce, sans que personne ne le remarque, et s'était réfugiée dans les jardins sombres de la villa. Les lumières des fenêtres illuminaient faiblement les allées
un grain de poussière, une simple apparition qui s'effacerait d'elle-même au prochain souffle du vent. Il n'avait même pas pris la peine de la juger comme une adversaire pote
bscurité, le poids du monde pesant sur s
itement clairs. Elle n'aurait pas dû écouter. Elle n'aurait pas dû tendre l'oreille, mais quelque chose en elle la poussait à
ite fortune héritée. Mais franchement, elle n'a aucune idée de ce qui se passe ici. » C'était Gabriel.
ux-mêmes. Mais il continua, comme si chaque mot
er du pouvoir. Ils veulent nous vendre cette histoire de noble héritière. Elle
hira son esprit. Il la ridiculisait. Il la voyait pour ce qu'elle était, selon lui : une femme fragile, sans véritable substa
as le laisser gagner. Elle n'allait pas se laisser définir par ses mots. Tout ce qu'il venait de dire, chaque phrase qu'il avait prononcée, allait être la clé de ce qu'elle alla
e de réponses. Elle savait que dans ce manoir de marbre et de cristal, il y avait plus que des rêves et des mensonges. Il y avait des secrets. Les Blackwell ne jouaient pas uniquem
s. Ses parents, bien qu'ils l'aient protégée dans une bulle dorée, n'avaient pas fait attention à l'esprit qu'elle avait forgé dans l'ombre. La curiosité. La patience. La compréhension. Elle s'approcha di
était décorée avec un luxe froid, un mélange de bois sombre et de cuir, de livres reliés en or et de tableaux modernes qui respiraient la richesse et l'isolement. Le bu
s. Il avait dû garder quelque chose, un document, une preuve de sa vulnérabilité, quelque chose qui prouverait que derrière l'immense façade des Blackwell, il y avait des f
l étaient au bord du gouffre. La stabilité financière de l'empire était fragile. Il y avait des dettes cachées, des investissements dévastateurs qui n'avaient pas enco
ement un document qu'elle avait trouvé. C'était une arme. Une arme qu'elle pourrait utiliser contre lui. Gabriel Bl
document et sortit aussi discrètement qu'elle était entrée. Mais alors qu'elle fermait la porte
nt sa respiration. Elle entendit la porte s'ouvrir et se refermer avec une douceur glacée. Gabriel était là. Il était seul, ou du moins, il semblai
endit pas. Sophia attendit encore quelques secondes, jusqu'à ce qu'il disparaisse d
allait prouver à Gabriel Blackwell qu'il avait fait la pire erreur de sa vie. Et