Le plus glorieux des immortels: Dies illa, solvet saeclum in favilla
Auteur:promotion Genre: FantaisieLe plus glorieux des immortels: Dies illa, solvet saeclum in favilla
ment les dérives
et profonde, avant de se pardonner pour ce qu'il allait faire. Barbe et cheveux charbonnés à dessein, AZO après avoir erré un temps dans l'hostilité qu'il assumait, força soudainement de toute sa prestance la férocité d'un monst
ubitement d'un vide assourdissant. Tout devint propice au déchaînement de forces surnaturelles. Dans un décor transylvanie
O se fit plus animal que la bête,
de feu s'opposèrent à des dents de sabre acérées co
en râles et hurlements, déchira l'atmosphère en se ruant sur le marabout du moment. En un éclair, l
uréole lumineuse qui laissera disparaître dans un espace extra-terrestr
ferlèrent, dans un tohu-bohu infernal, les émanations mu
es d'un vide informe venai
s une main une masse rocheuse qu'il tira d'un éperon et dans l'autre de la vase tiède qu'il enleva d'un monceau d'ad
ertébrés devenus charogneux. L'explosion que ce mélange provoqua à la surface de sa construction minérale créa une telle déflagration que les matières moui
laissa alentour que désolation, que
d les silhouettes de ces vertébrés se dissipèrent. Tout n'était plus que panac
ôtés, un énorme bloc de lave et de glace, une montagne des douleurs qui restera à jamais un mausolée témoin pour l'éternité
vaincre le chaos et triompher d'un né
de la ro
oncé dans une pelisse fripée qui recouvrait une paire de savates avachies, mur
u'autour de lui, folioles carnassières, plantes grimpantes et leurs locat
e son être, vers une mutilation de ses motricités, physiques et mentales. Sa carcasse partait à la dérive.
nstigateur du désastre, il commença à se dépouiller de ses nippes, pensant qu'il lui fallait retrouver une no
frotta les mains, et roula machinalement cette matière qui se transforma en un bâtonnet de pâte huileuse, qu'il ramena, comme il savait le faire, à une boule... En sortant ses pieds aux ongles incarnés de derrière quelques crosses de fougères qui s'étaient installées là, il exhuma sèchement de nouveaux lambeaux
minables cycles de temps des vases, des bols, et encore des vases et encore des bols pour leur donner un aspect qui ne ressemblait à rien d'autre qu'à leur propre représentation. Il tournait autour de ses objets pour les ani
uotidiens, il n'en était pas moins spontané et naturel et ne renonçait jamais, à des désirs inaccessibles. C'est ainsi qu'il entreprit avec obstination
ment de son énergie et sa couche n'y résista pas. Un petit réveil vaseux se fit le jour d'après, le nez trem
que l'être accidentel qui répondait au doux nom d'Ialdabaôth, son souffre-douleur le tenancier de la gargote qui ne lui était pas réapparue depuis bien longtemps, lui manquait presque autant que ces systèmes,
il s'inventait, il fertilisait jour après jour son arsenal de vieux radoteur, l'exposant
onsidération qu'il avait de lui-même. S'il avait su, pendant des temps cosmiques faire litière de son supposé comparse, il ne se résignait cependant pas pour autant à vouloir comprendre ce qui s'était passé, et surtout si ce qui s'était passé, s'était réel
rtir à la recherche de ces énergies qu'il avait disposées dans son environnement, il y avait bie
ent existé ou pas, mais ce qu'il espérait avant tout
à l'exception du pellucide gargotier qui se manifestait o
ement d'u
en conjectures qui n'arrangeaient rien aux tourments psychiques qu'il vivait. Il provoqua à maintes reprises sa conscience en duel, pour menotter ses émotions. Il enjamba
inables errances qui l'auront amené à croiser des milliers d'objets familiers qui n'avaient à ses yeux que pe
pour conséquence de le rassurer sur sa santé mentale. Tout ce qui été supposé s'êt
pendant dans son culte du moi, il entreprit son voyage de retour. Peut-être que sur ce tr
ntré aucune forme de parent