Un Milliardaire Solitaire
pouvait pas le nier, une étrange fascination la poussait à essayer de comprendre cet homme solitaire qui vivait en retrait de tout, presque comme un fant
order le sujet sans vraiment savoir pourquoi. C'était comme si son esprit n'arrivait
hez Raphaël Belmont, non ? » dit-elle en a
peu secret, il faut le dire. Mais il n'a jamais cherché à en faire un mystère. Il est juste... » Elle haussait les épaules,
ité se réveiller un peu
.. bien remplie, j'imagine. Mais il s'est retiré il y
C'était comme si elle avait dit ce qu'elle pouvait, et que parler davantage de Raphaël n'était pas dans les règles non é
es, elle s'aventura dans le petit café du coin, là où les gens se retrouvaient pour échanger les dernières nouvelles du v
à une table voisine, et Louisa, dissimulée
e voix rauque. « Ce n'est pas un homme comme les autres. Pas un villageois, malgré
t qu'on croie. Avant, c'était un magnat. L'un des plus puissants. Il a bâti un empire, une vraie fortune, et d'un jour à l'autre, il a tout laissé tomber. I
ter son impression qu'il y avait bien plus derrière cet homme. Pourquoi cet isolement soudain ? Et
s dans les poches, comme s'il était perdu dans ses pensées. Louisa se sentit soudainement poussée à l'approcher, à briser le silence entre e
uvement pour l'accueillir. Ses yeux sombres, presque intense
timidement, ne sachant
distante. Il ne semblait pas plus intéres
aise. Elle n'était pas habituée à être ainsi ignorée. « Je vous ai vu travailler, ici, tous les jours
'ai pas choisi cela par passion, si c'est ce que tu veux savoir. J'ai simplement trouvé la paix i
mots. « C'est ce que vous avez fait, vous êtes
stifier auprès de vous, mademoiselle. J'ai pris des décisions, des décisions que j'a
ais rencontrée chez un homme. Cela la perturbait encore plus. Pourquoi était-il si fermé ?
demander. « Vous, un homme comme vous, pourq
eux. Puis il secoua lentement la tête, comme s'il regrettait d'avoi
l disait n'avait rien de logique, rien d'acceptable pour quelqu'un qui avait connu l
sion que Raphaël s'était fermé à elle de manière définitive, qu'il n'y avait plus rien à e
er, chaque pas la rapprochant un peu plus de la tranquillité qu'elle avait connue avant cette rencontre. Mais au fond, que
out ce qui se cachait derrière son regard aussi impénétrable qu'un ciel d'orage. Mais une chose était certaine :