La louve du milliardaire
lque chose de plus, quelque chose d'unique. » Il fit une pause, son regard se posant sur moi un instant, et j'eus l'impression qu'il scrutait mon
agie, la tester. Je regardai avec fascination les élèves qui se succédaient. Certains parvenaient à faire scintiller légèrement
yeux, me concentrant. Au début, rien ne se produisit. Puis, lentement, une chaleur étrange émana de la pierre sous mes doigt
ard perçant posé sur moi. « Il semble que nous ay
mais aussi curieuse de ce qu'il voula
long d'expliquer cela maintenant. Avec le t
ur moi. Certains semblaient intrigués, d'autres, comme Kara, visi
s par découvrir des trucs surprenants, »
air, comme si chaque élève voyait dans ces enseignements une opportunité unique.
de moi, dans un recoin discret, j'aperçus Tom en pleine discussion avec un autre étudiant que je ne reconnus pas. Le
erreurs, » disait Tom d'une voix basse, mais suffisamm
» répondit l'autre étudiant d'un ton presque p
pression impénétrable, mais empreinte d'une assurance
Mon esprit tourbillonnait. Ce « groupe » dont il parlait semblait bien plus dangereux que tout ce q
e ma chambre. Épaisse, scellée par un cachet de cire noire marquée d'un symbole en forme de croissant, elle dégageait
orceau de parchemin, à l'é
nuit. Rendez-vous à minuit dans l'aile inter
rappela ce que j'avais aperçu lors de mon premier jour, ces étudiants qui se faufilaient discrètement dans cette zone énigmatique de l'académie. Était-ce lié ? Une
tête. Liam venait de se glisser dans ma chambre, sans prévenir, comme il avait pris l
nvitation, dit-il, appuyé nonchalamm
? demandai-j
à quelques-unes de leurs petites réunions. Le Cercle
a dit, sa désinvolture semblait cacher au
er ? murmurai-je, plus po
s bras, le regard pétillant. Ils vont sans doute te tester d'une ma
ge, mais l'idée d'en apprendre plus sur ce groupe me captivait. Après tout, j'étais ven
sant des lieux et les ombres qui dansaient au rythme de ma respiration rendaient l'ambiance encore plus lourde
cale sur l'épaule avant de m'indiquer une porte ma
e inspiration et
*
lottantes, disposées en cercle. C'était le genre de scène que l'on pourrait trouver dans un roman ancien : le
an. Il leva les yeux et croisa mon regard sans ciller, une lueur indéchiffrable dans ses prunelles sombres. À ses côtés, Kara me fixait avec un sourire glacé, presque carnassier. Mais
semblait contenir une autorité implacable. Prends place, i
ards scrutateurs de tous. L'ambiance était lourde, les ex
es plus prometteurs se retrouvent. Nous partageons des secrets, des connai
iège se refermer sur moi.
t-il calmement. Pour prouver que ceux qui nous r
arnassier. « Et pour toi,
rder une apparence calme malgré la pa
datrice. Toi contre moi. Un combat de force et de talents. A
eculer. Cette invitation, je l'avais accepté