La louve du milliardaire
lée perdue entre des montagnes austères et des forêts denses. Des colonnes de pierre s'élevaient vers le ciel, soutenant des arches aux ornements aussi délicats qu'intimidants.
un contraste saisissant avec l'élégance aristocratique qui émanait de l'Académie. Elle avait toujours rêvé de rejoindre cette école, mais l'évidence de sa place
t-ce pas ? » souffla u
ntaine d'années, vêtu d'un costume parfaitement tail
de l'Académie », se présenta-t
préhension qui montait en elle. La voix de Monsieur Greaves
dans une école de ce genre. Soyez rassurée
lisait dans les pensées. Avant qu'elle n'ait pu répondre, il l
ter, Emily. Ici, chacun a sa plac
de curiosité et de malaise. Elle regarda autour d'elle ; des groupes d'étudiants chuchota
orches suspendues à des murs de pierre, jetant des reflets d'or et de pourpre, et surtout, les silhouettes de certains élèves, dont les yeux brillaient d'une lueur étrange et inquiétante. Il
ix la fit s'arrêter. Un groupe de jeunes, tous vêtus avec une élégance discrète, se
» lança-t-elle, perdant
ébouriffés et aux yeux perçants, lui répo
que tu te tenais là », dit-il d'une
u'elle trouvait déstabilisante. Emily sentit le rouge lui monter aux jo
, tu verrais un peu mieux ce qui t'entoure », répliq
ourire amusé, et ses amis éc
un sourcil. « Tom Walters. J'espère que tu t'habitueras rapidemen
eur de Tom. Elle serra ses poings, consciente que tous les
s pour ça, » répliqua-t-elle avec
e s'éloigner avec son groupe, laissant Emily légèrement troublée par cette rencontre. Elle avait toujours eu confiance en e
portes en bois massif, décorées de symboles mystérieux, trônait au bout du couloir. Un groupe d'élèves s'approcha en silence, chacun lançant
elle ressentait l'aura d'exclusivité et de mystère qui émanait de ce rassemblement. Quelque chose dans leur attitude l'in
e d'une centaine d'autres élèves, la plupart visiblement rodés aux codes de cet endroit. Le son de la cloche résonnait da
couloirs étaient glacés, non seulement par la pierre froide qui tapissait les murs, mais par les regards distants
Tom, évidemment, avec son sourire narquois et son air détaché, était adossé au mur du fond, les bras croisés. Son
oiries discrètes, symbole de l'influence diplomatique de sa famille. Elle dégageait une assurance froide qui frôlait l'arrogance. Kara me fixa un instant, ses yeux bleus se plissant
térieure mais aussi une distance, un contrôle froid et calculé. À peine avais-je croisé ses yeux qu'un frisson étrange me parcourut. Il ne semblait prêter att
un cours de combat stratégique, mais pas seulement au niveau physique. La maîtrise de soi, de ses propres émotions, de sa posture même sous pression, tout ce
ésageait rien de bon, « nous allons travailler en binôme. Chacun devra teste
s'arrêter sur moi, un sourire mysté
vous serez avec