La Seconde Chance du Milliardaire
pit
aquements des branches sous mes chaussures, me semblaient assourdissants dans le silence nocturne. Chaque ombre projetée par
lumière de la maison, qui était auparavant visible derrière moi, avait disparu depuis longtemps.
mais distinctes, s'él
cria quelqu'un, sa voix rauq
i ? Je n'avais jamais fait de mal à personne. Toute ma vie, je n'avais été que la fille de m
er, mais je parvins à retrouver mon équilibre. Pas le temp
se rapp
perdre ! Elle ne p
res. Je ne pouvais pas les laisser m'entendre. Chaque pas que je faisais semb
is, vieille et abandonnée, à moitié dissimulée par des broussaill
L'air était humide, chargé d'une odeur de bois pourri et de terre. Je refermai la po
dans un coin et d'une couverture poussiéreuse jetée sur le sol. Une seule fenêt
retenant mon souffle. Les v
r par ici. Regard
battement. Ils ét
foncée plus loin ? » demand
chaque recoin. Le patron ne nous pa
ron ? Qui étaient ces hom
s ne pensent pas à entrer dans la cabane. Mais le grincement des
bas. On regarde
demme
crier. Mon esprit était en panique
vai précipitamment, découvrant une trappe en bois. Sans réfléchir, je
porte de la cabane s
bane abandonnée, » g
r leurs bottes noires. Ils fouillaient la pièce, dépla
t eu l'idée de venir ici
d pas de risques. Regarde
l'entendre. Mon cœur battait si fort que j'avais l'impression
arrêta juste au-de
tu as ent
mordant l'intérieur de la jo
ement en train de courir comme une idio
ir de peur, mais après quelques secondes qui me semblèrent
on. Allez, o
champ de vision, et bientôt, l
utes. J'attendis jusqu'à ce que je sois sûre qu'ils soient par
je dus m'asseoir un moment. Je ne savais pas combien de temps j'avais pas
« patron » ? Je n'avais aucune réponse, mais une chose était
uxe de rester figée dans la peur. Je devais continuer, même si je
Elle était poussiéreuse et sentait mauvais, mais elle pourrait me réch
amais, mais je n'avais pas le choix